8 mars, une journée parmi 365 autres

Lorsque l’on jette un coup d’œil au calendrier des «journées mondiales», on réalise que pratiquement chaque jour de l’année est consacré à commémorer un peuple, une cause, un objet, un métier… et que le 8 mars est coincé entre la journée internationale du tennis et …la journée mondiale de la plomberie ! On pourrait en rire si… on n’y regardait pas de plus près.

Lorsque l’on jette un coup d’œil au calendrier des «journées mondiales», on réalise que pratiquement chaque jour de l’année est consacré à commémorer un peuple, une cause, un objet, un métier… et que le 8 mars est coincé entre la journée internationale du tennis et …la journée mondiale de la plomberie ! On pourrait en rire si… on n’y regardait pas de plus près.

Cette journée trouve son origine dans les luttes ouvrières de l’Europe du début du XXe siècle et les nombreuses manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures conditions de travail et l’égalité entre les hommes et les femmes. Ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met en place. Après 1945, la Journée internationale des femmes devient une tradition dans le monde entier. Reconnue officiellement par les Nations Unies en 1977, puis en France en 1982, c’est une journée de manifestations à travers le monde, l’occasion de faire un bilan.

Longtemps « journée de LA femme », l’objectif du 8 mars, en France, restait flou, les récupérations mercantiles entretenant la confusion et détournant les réflexions de la lutte pour les droits des femmes.
On peut se réjouir que, en 2014, si ces pratiques existent encore parfois, elles restent à la marge et que le 8 mars, désormais clairement « journée internationale des droits des femmes », cristallise tout un processus de réflexions, d’analyses, de focus sur la situation des femmes dans tel ou tel pays, telle ou telle profession, permettant ainsi de faire reculer les stéréotypes et avancer la cause des femmes et donc des hommes !

A l’UNSA Éducation, nous n’avons pas attendu le 8 mars pour informer, dénoncer, analyser, relayer l’information. Avec l’ensemble de nos syndicats, nous travaillons quotidiennement afin de détricoter les stéréotypes et de donner aux femmes toute la place qui leur revient au sein de la société ainsi que dans nos propres structures.
Alors janvier ou mars, mai ou septembre, 3 ou 8… pour nous c’est « Éduquer à l’égalité tous les jours » !

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Lorsque l’on jette un coup d’œil au calendrier des «journées mondiales», on réalise que pratiquement chaque jour de l’année est consacré à commémorer un peuple, une cause, un objet, un métier… et que le 8 mars est coincé entre la journée internationale du tennis et …la journée mondiale de la plomberie ! On pourrait en rire si… on n’y regardait pas de plus près.

Cette journée trouve son origine dans les luttes ouvrières de l’Europe du début du XXe siècle et les nombreuses manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures conditions de travail et l’égalité entre les hommes et les femmes. Ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met en place. Après 1945, la Journée internationale des femmes devient une tradition dans le monde entier. Reconnue officiellement par les Nations Unies en 1977, puis en France en 1982, c’est une journée de manifestations à travers le monde, l’occasion de faire un bilan.

Longtemps « journée de LA femme », l’objectif du 8 mars, en France, restait flou, les récupérations mercantiles entretenant la confusion et détournant les réflexions de la lutte pour les droits des femmes.
On peut se réjouir que, en 2014, si ces pratiques existent encore parfois, elles restent à la marge et que le 8 mars, désormais clairement « journée internationale des droits des femmes », cristallise tout un processus de réflexions, d’analyses, de focus sur la situation des femmes dans tel ou tel pays, telle ou telle profession, permettant ainsi de faire reculer les stéréotypes et avancer la cause des femmes et donc des hommes !

A l’UNSA Éducation, nous n’avons pas attendu le 8 mars pour informer, dénoncer, analyser, relayer l’information. Avec l’ensemble de nos syndicats, nous travaillons quotidiennement afin de détricoter les stéréotypes et de donner aux femmes toute la place qui leur revient au sein de la société ainsi que dans nos propres structures.
Alors janvier ou mars, mai ou septembre, 3 ou 8… pour nous c’est « Éduquer à l’égalité tous les jours » !