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18 décembre : journée internationale des migrant.es

Les préjugés contre les migrant.es sont de plus en plus présents sur tous les continents. Face à cette situation, il est essentiel de sensibiliser l’opinion sur la place que jouent réellement les migrations dans les domaines économique, social et culturel. Le 18 décembre est la journée internationale pour dissiper toutes les idées reçues à ce sujet.

Des migrations de plus en plus nombreuses

Il faut tout d’abord adopter un regard planétaire lorsqu’on évoque les parcours des migrant.es. On a en effet sur ce point trop tendance à ne voir ce phénomène qu’à travers la situation dans l’Hexagone ou en Europe. Combattre les préjugés à ce sujet, c’est comprendre que les migrations sont avant tout plus fréquentes dans les pays du Sud entre eux. C’est aussi prendre conscience qu’en raison des crises internationales, des guerres et des phénomènes climatiques extrêmes, les flux de populations entre les continents vont augmenter. La crise du covid 19 a accéléré certains flux et a entraîné également davantage de conséquences sur celles et ceux qui tentent de partir.
Ce phénomène planétaire oblige à élaborer des solutions collectives et internationales. Dresser des murs aux frontières, ne porter qu’un message d’exclusion, cela ne peut être en aucun cas la solution. L’UE a dans ce domaine un rôle exemplaire à jouer

Une journée pour sensibiliser au vécu des migrant.es

La journée internationale du 18 décembre impulsée par l’ONU est l’occasion d’informer sur le vécu des migrantes et des migrants partout dans le monde. Mieux connaître leur vie permet également de comprendre leur rôle dans le développement économique de nombreux pays, aussi bien des pays d’origine que des pays d’arrivée. L’aspiration à une vie meilleure, à une société plus solidaire et fraternelle, cela passe par la préservation des droits humains qu’il faut protéger au-delà des frontières.

La haine de l’autre et le rejet des populations étrangères sont particulièrement présents dans nos sociétés occidentales, et cela est renforcé dans le contexte de crise actuelle. Notre fédération milite pour une société plus solidaire et plus fraternelle, respectueuse des droits humains.

Pour en savoir plus :

Retrouvez sur notre chaîne Youtube une interview du chercheur Benjamin Boudou


Voir également sur le site de l’UNSA un article à ce sujet 

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Les préjugés contre les migrant.es sont de plus en plus présents sur tous les continents. Face à cette situation, il est essentiel de sensibiliser l’opinion sur la place que jouent réellement les migrations dans les domaines économique, social et culturel. Le 18 décembre est la journée internationale pour dissiper toutes les idées reçues à ce sujet.

Des migrations de plus en plus nombreuses

Il faut tout d’abord adopter un regard planétaire lorsqu’on évoque les parcours des migrant.es. On a en effet sur ce point trop tendance à ne voir ce phénomène qu’à travers la situation dans l’Hexagone ou en Europe. Combattre les préjugés à ce sujet, c’est comprendre que les migrations sont avant tout plus fréquentes dans les pays du Sud entre eux. C’est aussi prendre conscience qu’en raison des crises internationales, des guerres et des phénomènes climatiques extrêmes, les flux de populations entre les continents vont augmenter. La crise du covid 19 a accéléré certains flux et a entraîné également davantage de conséquences sur celles et ceux qui tentent de partir.
Ce phénomène planétaire oblige à élaborer des solutions collectives et internationales. Dresser des murs aux frontières, ne porter qu’un message d’exclusion, cela ne peut être en aucun cas la solution. L’UE a dans ce domaine un rôle exemplaire à jouer

Une journée pour sensibiliser au vécu des migrant.es

La journée internationale du 18 décembre impulsée par l’ONU est l’occasion d’informer sur le vécu des migrantes et des migrants partout dans le monde. Mieux connaître leur vie permet également de comprendre leur rôle dans le développement économique de nombreux pays, aussi bien des pays d’origine que des pays d’arrivée. L’aspiration à une vie meilleure, à une société plus solidaire et fraternelle, cela passe par la préservation des droits humains qu’il faut protéger au-delà des frontières.

La haine de l’autre et le rejet des populations étrangères sont particulièrement présents dans nos sociétés occidentales, et cela est renforcé dans le contexte de crise actuelle. Notre fédération milite pour une société plus solidaire et plus fraternelle, respectueuse des droits humains.

Pour en savoir plus :

Retrouvez sur notre chaîne Youtube une interview du chercheur Benjamin Boudou


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