Revalorisation : Sans actes concrets, l’UNSA Éducation appellera à la grève le 5 décembre

Depuis plusieurs mois, le président de la République, le premier

Ministre, le Haut-Commissaire chargé des retraites et le ministre de

l’Éducation nationale n’ont de cesse de répéter que la réforme des

retraites sera juste pour les enseignants et pour l’ensemble des

fonctionnaires.

L’UNSA Éducation constate que le temps avance et que

rien de concret ne vient confirmer ces propos. Cela aurait dû pourtant

être le cas lors de la réunion du 8 octobre avec J.P. Delevoye et J.M. 

Blanquer. L’UNSA Éducation dénonce l’absence d’annonce

tangible et d’engagement suffisamment solide pour une revalorisation

actée avant le passage de la loi sur les retraites à l’Assemblée

nationale.

L’UNSA Éducation avec son union interprofessionnelle, l’UNSA,

n’était pas demandeuse de cette réforme des retraites. Si le Président

souhaite la réaliser, il est indispensable qu’une enveloppe financière

conséquente soit attribuée pour revaloriser les carrières des

enseignant·e·s mais aussi de tous les personnels qui pourraient y

perdre, en particulier ceux qui ont un très faible régime indemnitaire.

Les 15 premières générations concernées par cette réforme doivent également être protégées entièrement de ses effets.

À l’UNSA Éducation, nous sommes prêts à négocier mais pas sans actes concrets.
Il est donc temps que l’exécutif prenne ses responsabilités, sinon l’UNSA Éducation prendra les siennes.
Soit dès la prochaine réunion du 7 novembre au ministère de

l’Éducation nationale, de premières mesures de revalorisation sont

clairement annoncées et l’engagement est pris de discuter et finaliser

un plan de revalorisation global avant le passage de la loi au parlement

 ; soit l’UNSA Éducation appellera à une journée de grève dans l’Éducation nationale, le 5 décembre prochain.

Depuis plusieurs mois, le président de la République, le premier

Ministre, le Haut-Commissaire chargé des retraites et le ministre de

l’Éducation nationale n’ont de cesse de répéter que la réforme des

retraites sera juste pour les enseignants et pour l’ensemble des

fonctionnaires.

L’UNSA Éducation constate que le temps avance et que

rien de concret ne vient confirmer ces propos. Cela aurait dû pourtant

être le cas lors de la réunion du 8 octobre avec J.P. Delevoye et J.M. 

Blanquer. L’UNSA Éducation dénonce l’absence d’annonce

tangible et d’engagement suffisamment solide pour une revalorisation

actée avant le passage de la loi sur les retraites à l’Assemblée

nationale.

L’UNSA Éducation avec son union interprofessionnelle, l’UNSA,

n’était pas demandeuse de cette réforme des retraites. Si le Président

souhaite la réaliser, il est indispensable qu’une enveloppe financière

conséquente soit attribuée pour revaloriser les carrières des

enseignant·e·s mais aussi de tous les personnels qui pourraient y

perdre, en particulier ceux qui ont un très faible régime indemnitaire.

Les 15 premières générations concernées par cette réforme doivent également être protégées entièrement de ses effets.

À l’UNSA Éducation, nous sommes prêts à négocier mais pas sans actes concrets.
Il est donc temps que l’exécutif prenne ses responsabilités, sinon l’UNSA Éducation prendra les siennes.
Soit dès la prochaine réunion du 7 novembre au ministère de

l’Éducation nationale, de premières mesures de revalorisation sont

clairement annoncées et l’engagement est pris de discuter et finaliser

un plan de revalorisation global avant le passage de la loi au parlement

 ; soit l’UNSA Éducation appellera à une journée de grève dans l’Éducation nationale, le 5 décembre prochain.