Rentrée 2018 : on se répète?

Rentrée 2018 : on se répète?

 

Même si la rentrée semble déjà loin pour bon nombre de personnels, l’heure est au souhait du meilleur et du respect de toutes les actrices et tous les acteurs des conditions de la réussite de nos élèves.

 

Le respect passe par plusieurs biais.

 

Par le PPCR, par exemple, mais le compte n’y est pas. Les différents représentants syndicaux de l’UNSA Education, tant évaluateurs qu’évalués, vous l’ont dit il y a encore peu.

Par le nombre de personnels. Encore trop de services du Rectorat semblent fonctionner en sous effectifs, trop d’EPLE sont sur le fil, des disciplines en collège et lycée sont non pourvues, des élèves sont encore sans AESH, voire sans place en ULIS après notification, ou n’ont pas d’AESH dans leurs ULIS… Est-ce un problème de calibrage du nombre de TZR ici, de nombres de candidats de l’autre, d’attrait des métiers de l’Education ?

 

Par la prise en compte de la réalité des personnels à l’aube de la réorganisation territoriale.

 

Par des annonces suivies de fait : consulter l’expertise des représentant.e.s des personnels lors des travaux sur la communication envers les services et les usagers, sur le réseau des écoles, des circonscriptions, les secteurs multi-collèges, le recrutement des AESH, la

carte de l’éducation prioritaire, l’analyse du processus Parcoursup…

 

Rien de neuf pour une rentrée nous direz-vous. Tout le monde s’efforce de faire de son mieux. Certes, mais la répétition étant une des armes de la pédagogie, l’UNSA Education demande, pour une année encore, une meilleure anticipation de ces freins au bon fonctionnement de notre académie. Elle permettra ainsi de ne pas tirer sur une corde déjà bien tendue par le yoyo de son Ministre.

 

Ainsi, l’Institution sera à la hauteur du double défi de la gestion humaine de ses ressources et assurer un service public de qualité.

Rentrée 2018 : on se répète?

 

Même si la rentrée semble déjà loin pour bon nombre de personnels, l’heure est au souhait du meilleur et du respect de toutes les actrices et tous les acteurs des conditions de la réussite de nos élèves.

 

Le respect passe par plusieurs biais.

 

Par le PPCR, par exemple, mais le compte n’y est pas. Les différents représentants syndicaux de l’UNSA Education, tant évaluateurs qu’évalués, vous l’ont dit il y a encore peu.

Par le nombre de personnels. Encore trop de services du Rectorat semblent fonctionner en sous effectifs, trop d’EPLE sont sur le fil, des disciplines en collège et lycée sont non pourvues, des élèves sont encore sans AESH, voire sans place en ULIS après notification, ou n’ont pas d’AESH dans leurs ULIS… Est-ce un problème de calibrage du nombre de TZR ici, de nombres de candidats de l’autre, d’attrait des métiers de l’Education ?

 

Par la prise en compte de la réalité des personnels à l’aube de la réorganisation territoriale.

 

Par des annonces suivies de fait : consulter l’expertise des représentant.e.s des personnels lors des travaux sur la communication envers les services et les usagers, sur le réseau des écoles, des circonscriptions, les secteurs multi-collèges, le recrutement des AESH, la

carte de l’éducation prioritaire, l’analyse du processus Parcoursup…

 

Rien de neuf pour une rentrée nous direz-vous. Tout le monde s’efforce de faire de son mieux. Certes, mais la répétition étant une des armes de la pédagogie, l’UNSA Education demande, pour une année encore, une meilleure anticipation de ces freins au bon fonctionnement de notre académie. Elle permettra ainsi de ne pas tirer sur une corde déjà bien tendue par le yoyo de son Ministre.

 

Ainsi, l’Institution sera à la hauteur du double défi de la gestion humaine de ses ressources et assurer un service public de qualité.