Montpellier – Crise sanitaire, il faut recruter.

En école, collège et lycée la possibilité et la rapidité du remplacement est indispensable au respect du protocole.

Toute absence est problématique, c’est pourquoi l’UNSA Education a demandé des informations sur les absences des personnels relevant des collectivités territoriales. Aucune baisse d’exigence n’est acceptable en matière de qualité des opérations de nettoyage et de désinfection.

Dans le premier degré, contraindre les équipes à répartir les élèves en cas d’absence est inacceptable, pour l’UNSA Education l’employeur doit remplacer. En ce moment seul le recours au recrutement de liste complémentaires peut permettre d’assurer le remplacement systématique. Le président de la République affirme que le « quoi qu’il en coûte » est là pour permettre au pays de traverser la crise. Dans l’Education Nationale il faut accepter les surnombres et recruter. Dans l’attente de ces recrutements, il faut que des consignes prenant en compte le risque sanitaire soit données aux école quant à l’accueil des élèves. En CHSCT A, l’UNSA Education a présenté un avis (adopté à l’unanimité).

La rectrice ne s’engage à rien, indique seulement qu’elle n’ignore pas les situations de brassage que le non remplacement provoque. Elle rappelle que le premier degré dépend des DASEN, ce que nous n’ignorions pas : elle a donc botté en touche.

La dernière circulaire lycées du ministère annonce la possibilité de recruter des services civiques dans le second degré. 6000 recrutements à l’échelle nationale, combien pour notre académie ? D’autres moyens seraient utiles pour un meilleur fonctionement des établissements. De nombreux contractuels sont en attente d’une mission, faire appel à eux permettraient d’améliorer le respect du procole sanitaire.

La rectrice fera un point sur les recrutements de services civiques lors du CTA du 20 novembre. Sur les autres demandes : pas de réponse.

 

CTA : l’UNSA Education interpelle la rectrice

En école, collège et lycée la possibilité et la rapidité du remplacement est indispensable au respect du protocole.

Toute absence est problématique, c’est pourquoi l’UNSA Education a demandé des informations sur les absences des personnels relevant des collectivités territoriales. Aucune baisse d’exigence n’est acceptable en matière de qualité des opérations de nettoyage et de désinfection.

Dans le premier degré, contraindre les équipes à répartir les élèves en cas d’absence est inacceptable, pour l’UNSA Education l’employeur doit remplacer. En ce moment seul le recours au recrutement de liste complémentaires peut permettre d’assurer le remplacement systématique. Le président de la République affirme que le « quoi qu’il en coûte » est là pour permettre au pays de traverser la crise. Dans l’Education Nationale il faut accepter les surnombres et recruter. Dans l’attente de ces recrutements, il faut que des consignes prenant en compte le risque sanitaire soit données aux école quant à l’accueil des élèves. En CHSCT A, l’UNSA Education a présenté un avis (adopté à l’unanimité).

La rectrice ne s’engage à rien, indique seulement qu’elle n’ignore pas les situations de brassage que le non remplacement provoque. Elle rappelle que le premier degré dépend des DASEN, ce que nous n’ignorions pas : elle a donc botté en touche.

La dernière circulaire lycées du ministère annonce la possibilité de recruter des services civiques dans le second degré. 6000 recrutements à l’échelle nationale, combien pour notre académie ? D’autres moyens seraient utiles pour un meilleur fonctionement des établissements. De nombreux contractuels sont en attente d’une mission, faire appel à eux permettraient d’améliorer le respect du procole sanitaire.

La rectrice fera un point sur les recrutements de services civiques lors du CTA du 20 novembre. Sur les autres demandes : pas de réponse.

 

CTA : l’UNSA Education interpelle la rectrice