L’UNSA prête à la concertation mais pas à n’importe quel prix !

     Lors du lancement de la concertation Fonction Publique, le 29 mars, le gouvernement a réaffirmé son attachement au statut de la fonction publique, par les voix de Gérald Darmanin, Ministre de l’Action et des Comptes Publics, et d’Olivier Dussopt, Secrétaire d’état.

L’UNSA prend en compte de façon positive ces propos mais estime que

les sujets de ressources humaines mis sur la table de la concertation ne

répondent pas aux besoins nécessaires d’amélioration de la fonction

publique et de reconnaissance des agents. L’UNSA se positionnera sur

chacune des mesures envisagées.

Communiqué de l’UNSA Fonction Publique

L’UNSA Fonction Publique, atta­chée au dia­lo­gue social, a

par­ti­cipé à la séance d’ouver­ture de la concer­ta­tion déci­dée par

le gou­ver­ne­ment. Il s’agit pour l’UNSA de dis­cu­ter des condi­tions

d’exer­cice des agents publics, de leur car­rière, de leur mobi­lité, du

recru­te­ment, de la for­ma­tion, de leurs droits et de leur

rému­né­ra­tion.

L’UNSA a réaf­firmé son atta­che­ment à une fonc­tion publi­que

sta­tu­taire et de car­rière, qui pro­tège la société avec ses agents

enga­gés au ser­vice de l’inté­rêt géné­ral.

Pour l’UNSA, les 4 chan­tiers ouverts aujourd’hui ne répon­dent pas, à

ce stade, à ces amé­lio­ra­tions vou­lues pour les agents.

Sur le pre­mier chan­tier « les ins­tan­ces consul­ta­ti­ves des per­son­nels », l’UNSA a rap­pelé :

  • Sa volonté de conserver toutes les instances (CT, CHSCT et CAP) et toutes leurs attributions.
  • Sa volonté de préserver les droits et les garanties de protection des agents publics.

Sur le second dos­sier « recours au contrat », l’UNSA a sou­li­gné :

  • La possibilité déjà offerte à titre dérogatoire

    aux employeurs public de recruter sur contrat (17% des agents sont des

    contractuels aujourd’hui).
  • La nécessité de permettre de réelles perspectives de carrière pour les agents contractuels.

Sur le chan­tier de « la rému­né­ra­tion et plus par­ti­cu­liè­re­ment de la rému­né­ra­tion au mérite », l’UNSA a insisté sur :

  • Le statut de la fonction publique qui permet déjà de prendre en compte la valeur professionnelle.
  • Son opposition à tout système de rémunération individualisée.
  • Sa volonté d’améliorer les rémunération des agents, clef de la reconnaissance et de l’attractivité dans la fonction publique.
  • Son refus de tout dispositif qui conduirait à une baisse des traitements et/ou des pensions.
  • Son exigence d’une valeur du point d’indice identique pour les trois versants.

Sur le der­nier dos­sier « accom­pa­gne­ment des agents », l’UNSA a rap­pelé :

  • Son intérêt pour les dispositifs qui permettront une mobilité choisie intra et inter versant dans la fonction publique.
  • La nécessité d’enrichir les formations pour permettre aux agents

    d’évoluer pendant leur carrière (seconde carrière, gestion des âges…)

L’UNSA est prête à dis­cu­ter mais pas à n’importe quel prix !

 

Le gou­ver­ne­ment a choisi d’ouvrir ces chan­tiers. Il ne pourra

pas se conten­ter de tenir un calen­drier de réu­nions dans

les­quel­les il n’écouterait pas les orga­ni­sa­tions syn­di­ca­les,

légi­ti­mes repré­sen­tan­tes des agents publics.

 

L’UNSA mesu­rera les pro­po­si­tions concrè­tes chan­tier par chan­tier que le gou­ver­ne­ment for­mu­lera.

 

     Lors du lancement de la concertation Fonction Publique, le 29 mars, le gouvernement a réaffirmé son attachement au statut de la fonction publique, par les voix de Gérald Darmanin, Ministre de l’Action et des Comptes Publics, et d’Olivier Dussopt, Secrétaire d’état.

L’UNSA prend en compte de façon positive ces propos mais estime que

les sujets de ressources humaines mis sur la table de la concertation ne

répondent pas aux besoins nécessaires d’amélioration de la fonction

publique et de reconnaissance des agents. L’UNSA se positionnera sur

chacune des mesures envisagées.

Communiqué de l’UNSA Fonction Publique

L’UNSA Fonction Publique, atta­chée au dia­lo­gue social, a

par­ti­cipé à la séance d’ouver­ture de la concer­ta­tion déci­dée par

le gou­ver­ne­ment. Il s’agit pour l’UNSA de dis­cu­ter des condi­tions

d’exer­cice des agents publics, de leur car­rière, de leur mobi­lité, du

recru­te­ment, de la for­ma­tion, de leurs droits et de leur

rému­né­ra­tion.

L’UNSA a réaf­firmé son atta­che­ment à une fonc­tion publi­que

sta­tu­taire et de car­rière, qui pro­tège la société avec ses agents

enga­gés au ser­vice de l’inté­rêt géné­ral.

Pour l’UNSA, les 4 chan­tiers ouverts aujourd’hui ne répon­dent pas, à

ce stade, à ces amé­lio­ra­tions vou­lues pour les agents.

Sur le pre­mier chan­tier « les ins­tan­ces consul­ta­ti­ves des per­son­nels », l’UNSA a rap­pelé :

  • Sa volonté de conserver toutes les instances (CT, CHSCT et CAP) et toutes leurs attributions.
  • Sa volonté de préserver les droits et les garanties de protection des agents publics.

Sur le second dos­sier « recours au contrat », l’UNSA a sou­li­gné :

  • La possibilité déjà offerte à titre dérogatoire

    aux employeurs public de recruter sur contrat (17% des agents sont des

    contractuels aujourd’hui).
  • La nécessité de permettre de réelles perspectives de carrière pour les agents contractuels.

Sur le chan­tier de « la rému­né­ra­tion et plus par­ti­cu­liè­re­ment de la rému­né­ra­tion au mérite », l’UNSA a insisté sur :

  • Le statut de la fonction publique qui permet déjà de prendre en compte la valeur professionnelle.
  • Son opposition à tout système de rémunération individualisée.
  • Sa volonté d’améliorer les rémunération des agents, clef de la reconnaissance et de l’attractivité dans la fonction publique.
  • Son refus de tout dispositif qui conduirait à une baisse des traitements et/ou des pensions.
  • Son exigence d’une valeur du point d’indice identique pour les trois versants.

Sur le der­nier dos­sier « accom­pa­gne­ment des agents », l’UNSA a rap­pelé :

  • Son intérêt pour les dispositifs qui permettront une mobilité choisie intra et inter versant dans la fonction publique.
  • La nécessité d’enrichir les formations pour permettre aux agents

    d’évoluer pendant leur carrière (seconde carrière, gestion des âges…)

L’UNSA est prête à dis­cu­ter mais pas à n’importe quel prix !

 

Le gou­ver­ne­ment a choisi d’ouvrir ces chan­tiers. Il ne pourra

pas se conten­ter de tenir un calen­drier de réu­nions dans

les­quel­les il n’écouterait pas les orga­ni­sa­tions syn­di­ca­les,

légi­ti­mes repré­sen­tan­tes des agents publics.

 

L’UNSA mesu­rera les pro­po­si­tions concrè­tes chan­tier par chan­tier que le gou­ver­ne­ment for­mu­lera.