Les ministres annoncent 13 académies et ne rassurent personne

Les ministres annoncent 13 académies et ne rassurent personne.

C’est  encore une fois par voie de presse que les personnels et leurs représentants découvrent les arbitrages ministériels. Pour Frédérique Vidal et Jean-Michel Blanquer, ce sera donc 13 académies métropolitaines, mais sans apporter plus de précisions et sans aucune garantie concrète sur les périmètres de gestion des personnels, sur la gouvernance, l’avenir des rectorats, l’accompagnement des restructurations ou encore les instances de dialogue social.

Depuis la sortie du rapport, mi-mai, les deux ministres n’avaient pas apporté d’informations sur ce qu’ils comptaient en retenir alors que dans les académies les personnels ont fait entendre leurs inquiétudes. L’UNSA Éducation et ses syndicats regrettent qu’avec cette interview à l’AEF à la mi-juillet, les deux ministres aient choisi de ne pas rassurer.

Avec cette façon de procéder, pas de place pour un dialogue en confiance qui prendrait en compte les personnels et construirait des solutions adaptées et partagées.

Si nous jugeons important d’avoir un interlocuteur Education nationale clairement identifié au niveau régional et que l’articulation actuelle entre les recteurs évolue, pour l’UNSA Éducation, ceci ne nécessite pas obligatoirement une fusion des académies dans toutes les régions. Nous avons proposé d’autres solutions.

Pour nous, les évolutions doivent avant tout répondre aux objectifs d’amélioration du service public d’éducation, de gestion des ressources humaines et d’aménagement du territoire.
La communication des deux ministres n’apporte aucune garantie. L’UNSA Éducation et ses syndicats seront mobilisés nationalement et en académie pour peser sur les projets que les recteurs de régions académiques devront élaborer pour début 2019.

Les ministres annoncent 13 académies et ne rassurent personne.

C’est  encore une fois par voie de presse que les personnels et leurs représentants découvrent les arbitrages ministériels. Pour Frédérique Vidal et Jean-Michel Blanquer, ce sera donc 13 académies métropolitaines, mais sans apporter plus de précisions et sans aucune garantie concrète sur les périmètres de gestion des personnels, sur la gouvernance, l’avenir des rectorats, l’accompagnement des restructurations ou encore les instances de dialogue social.

Depuis la sortie du rapport, mi-mai, les deux ministres n’avaient pas apporté d’informations sur ce qu’ils comptaient en retenir alors que dans les académies les personnels ont fait entendre leurs inquiétudes. L’UNSA Éducation et ses syndicats regrettent qu’avec cette interview à l’AEF à la mi-juillet, les deux ministres aient choisi de ne pas rassurer.

Avec cette façon de procéder, pas de place pour un dialogue en confiance qui prendrait en compte les personnels et construirait des solutions adaptées et partagées.

Si nous jugeons important d’avoir un interlocuteur Education nationale clairement identifié au niveau régional et que l’articulation actuelle entre les recteurs évolue, pour l’UNSA Éducation, ceci ne nécessite pas obligatoirement une fusion des académies dans toutes les régions. Nous avons proposé d’autres solutions.

Pour nous, les évolutions doivent avant tout répondre aux objectifs d’amélioration du service public d’éducation, de gestion des ressources humaines et d’aménagement du territoire.
La communication des deux ministres n’apporte aucune garantie. L’UNSA Éducation et ses syndicats seront mobilisés nationalement et en académie pour peser sur les projets que les recteurs de régions académiques devront élaborer pour début 2019.