Déclaration liminaire – GT inter académique du 16/12/19

Réformes indolores ?

Que ce soit pour la réforme des retraites ou la régionalisation des académies, l’UNSA Education n’a jamais été porteuse de ces projets. Elle a d’ailleurs su montrer son opposition ou exprimer ses doutes et le fera encore demain, jour de mobilisation nationale contre le projet de réforme des retraites.

Notre principe, pour ces réformes, qu’il n’y ait pas de perdant.e.s. Nous ne détaillerons pas ici nos revendications pour la réforme des retraites car ce n’est pas le lieu.

Nous avons exprimé, il y a un an déjà, tant en CIAEN, que dans nos comités techniques de Créteil, Paris ou Versailles, ou bien encore en audiences, nos inquiétudes quant aux potentiel.le.s perdant.e.s de la régionalisation de nos académies. Mobilités contraintes après 2022, voire avant comme à la DSI ou la DAF de Paris, suppressions de postes déguisé.e.s derrière des mutualisations… De même que le transfert en bloc de nos collègues de Jeunesse et sport reste une grande inconnue quant aux conséquences, notamment sur les postes de part et d’autre.

Avec cette nouvelle organisation voyons toutefois l’opportunité de mettre enfin sur la table les sujets qui fâchent par leur disparité, voire leur inéquité : l’indemnitaire, la gestion des dossiers transversaux comme l’orientation, l’école inclusive ou l’éducation prioritaire en passant par la formation.

On nous dit que l’on s’agite sans réel fondement. Nous espérons avoir les preuves de ces propos dès aujourd’hui et dans le schéma qui nous sera présenté en janvier. L’UNSA Education saura prendre ses responsabilités pour défendre les intérêts des collègues pour un service public d’éducation qui se doit d’être au plus proche des usagers.

L’UNSA Education est convaincue que les réformes ne peuvent se mettre en place sans la négociation et le dialogue social. Nous attendons que la mise en œuvre de la régionalisation effective au 1er janvier 2020 tienne compte de ces principes.

Réformes indolores ?

Que ce soit pour la réforme des retraites ou la régionalisation des académies, l’UNSA Education n’a jamais été porteuse de ces projets. Elle a d’ailleurs su montrer son opposition ou exprimer ses doutes et le fera encore demain, jour de mobilisation nationale contre le projet de réforme des retraites.

Notre principe, pour ces réformes, qu’il n’y ait pas de perdant.e.s. Nous ne détaillerons pas ici nos revendications pour la réforme des retraites car ce n’est pas le lieu.

Nous avons exprimé, il y a un an déjà, tant en CIAEN, que dans nos comités techniques de Créteil, Paris ou Versailles, ou bien encore en audiences, nos inquiétudes quant aux potentiel.le.s perdant.e.s de la régionalisation de nos académies. Mobilités contraintes après 2022, voire avant comme à la DSI ou la DAF de Paris, suppressions de postes déguisé.e.s derrière des mutualisations… De même que le transfert en bloc de nos collègues de Jeunesse et sport reste une grande inconnue quant aux conséquences, notamment sur les postes de part et d’autre.

Avec cette nouvelle organisation voyons toutefois l’opportunité de mettre enfin sur la table les sujets qui fâchent par leur disparité, voire leur inéquité : l’indemnitaire, la gestion des dossiers transversaux comme l’orientation, l’école inclusive ou l’éducation prioritaire en passant par la formation.

On nous dit que l’on s’agite sans réel fondement. Nous espérons avoir les preuves de ces propos dès aujourd’hui et dans le schéma qui nous sera présenté en janvier. L’UNSA Education saura prendre ses responsabilités pour défendre les intérêts des collègues pour un service public d’éducation qui se doit d’être au plus proche des usagers.

L’UNSA Education est convaincue que les réformes ne peuvent se mettre en place sans la négociation et le dialogue social. Nous attendons que la mise en œuvre de la régionalisation effective au 1er janvier 2020 tienne compte de ces principes.