Déclaration de rentrée SNPDEN Lille

Le SNPDEN UNSA, syndicat progressiste au service de tous les

personnels de direction, est un syndicat représentatif de tous les

collègues Adjoints et Chefs. C’est le SNPDEN UNSA qui historiquement est

à l’origine de nombreuses avancées catégorielles. Il est également

producteur de réflexions sur les avancées indispensables qui doivent

aujourd’hui faire progresser notre système éducatif, en contribuant

notamment à remédier aux difficultés socialesdes familles, point

particulièrement sensible dans notre académie.

Aujourd’hui, à l’aube de cette nouvelle année scolaire, les

Personnels de Direction sont excédés par les multiples commandes et

procédures satellites que veut nous imposer l’État : DUERP, RGPD,

interdiction des portables au collège, la liste n’est pas close quand il

ne s’agit pas de la marotte musicale ministérielle qui connaît son An 2

avec le succès que l’on sait.

Toutes ces choses et idées nouvelles donc forcément géniales

pourraient nous détourner des missions premières qui sont celles de

l’école. Les personnels de direction iront comme d’habitude à

l’essentiel, seule façon de réussir une rentrée et au-delà toute une

année scolaire.

D’un point de vue matériel, la rentrée a été préparée de manière

satisfaisante, les professeurs en BMP et les professeurs stagiaires ont

été nommés pour le 20 juillet comme annoncés et nous en remercions les

services. Il subsiste ici ou là des postes non pourvus, nous ne

l’ignorons pas, mais il s’agit le plus souvent d’un manque de vivier

difficile à combler pour certaines disciplines.

Nous ne reviendrons pas ici sur les examens et attendrons le ou les

groupes de travail pour faire remonter nos observations et nos souhaits

d’amélioration. Toutefois nous regrettons le fonctionnement de

l’application CYCLADE, très peu fonctionnelle et ergonomique. Le

ministère a décidé de fermer SIRHEN durant l’été vu son inefficacité à

suivre la gestion des personnels. Nous ne pouvons qu’espérer que cela

soit la première étape d’un grand renouveau des applications

informatiques nationales.

Pour cette année scolaire, en collège tout d’abord

Deux points saillants : Premièrement l’extension du dispositif

devoirs faits, les moyens ont été alloués et les principaux et leurs

adjoints peuvent organiser devoirs faits en toute connaissance de cause.

Cependant il faut souligner que là encore il sera fait au mieux, mais

sans illusion : l’objectif ministériel de pouvoir proposer à chaque

élève 4 heures hebdomadaires de devoirs faits correspondra à coup sûr à

une très rare exception plutôt qu’à une réalité quasi généralisée.

Deuxièmement l’Interdiction des Portables aux collèges, ce martial message ministériel

va sans nul doute faire les choux gras de la presse lors de cette

rentrée, comme le prouvent les sollicitations des médias que nous avons

déjà. Malheureusement ce raccourci racoleur est avant tout un coup

médiatique qui collatéralement va faire naître ou renaître des tensions

dans les établissements. En effet l’article L 551-5 du code de

l’éducation, moins clinquant mais plus conforme au droit indique :

L’utilisation d’un téléphone mobile ou de tout autre équipement

terminal de communications électroniques par un élève est interdite dans

les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges et

pendant toute activité liée à l’enseignement qui se déroule à

l’extérieur de leur enceinte, à l’exception des circonstances, notamment

les usages pédagogiques, et des lieux dans lesquels le règlement

intérieur l’autorise expressément.

Autrement dit exactement ce que prévoient la plupart des règlements intérieurs depuis de nombreuses années.

L’article L551-5 parle également de la possibilité de confiscation du

portable, là encore nous engageons les collègues à la plus grande

prudence.

Venons-en aux Lycées et Lp.

Nous aurons à mettre en place une réforme dont pour l’instant on

connaît assez peu de choses concrètes pour la voie générale et

technologique et moins encore pour la voie professionnelle.

Dès la prérentrée les équipes vont nous questionner sur l’avenir, les

modifications, les enseignements ou formations retenues pour

l’établissement et l’impact redouté sur les postes.

De même, alors que l’on nous rebat les oreilles avec l’orientation

qui paraît-il ne fonctionne pas ou pas assez bien et qui serait de fait

une cause essentielle de l’échec scolaire.

Il ne nous sera pas possible lors de cette rentrée d’indiquer à nos

entrants de seconde quel sera le type d’études qu’ils pourront faire ni

même si les enseignements désirés seront proposés dans leur lycée ou

non. De même en voie pro quels changements et quel avenir ?

Une fois encore les personnels de direction, en première ligne dans

les relations avec les familles et les personnels, risquent d’être

discrédités car ils ne seront pas en mesure de répondre aux légitimes questions de leurs interlocuteurs, sauf à diffuser la Une du PARISIEN sur l’ENT de leur établissement pour peu que la RGPD ne s’y oppose pas.

Nous formulons la demande des groupes de travail très tôt dans

l’année ainsi que de plénières avec l’ensemble des personnels de

direction concernés pour préparer au mieux ces réformes.

Nous serons vigilants à ce que les difficultés de mise en place de la

réforme du collège ne soient pas renouvelées et amplifiées lors de la

mise en place de cette réforme du lycée.

Pour la carte des enseignements à mettre en place nous réclamons un

pilotage académique précis et rapide, l’idée de déléguer la mission de

répartition des enseignements au niveau des bassins nous semble à tout

le moins inappropriée et dans certains cas, dangereuse.

Venons-en au post-bac.

Si parcoursup ne peut être vu comme un échec, il est très loin du

franc succès. Certes les tirages au sort ont disparu, et tous les bons

dossiers se sont vu proposer des formations. En revanche il subsiste de

trop nombreux bacheliers sans solutions à quelques jours de la rentrée,

souvent parmi les jeunes les plus fragiles scolairement et socialement.

Se voir proposer fin août une affectation que l’on ne souhaite pas

dans un endroit parfois très éloigné va améliorer les statistiques de

parcours sup, mais accroître les difficultés pour de très nombreux

jeunes.
Pire encore, de nombreuses familles ont finalement fait le choix du

privé pour être certains que leur enfant puisse poursuivre des études,

est-ce un dommage collatéral ou une volonté masquée du pouvoir, l’avenir

le dira !

Certaines sections de BTS ou de prépa ne font pas le plein parce que

des étudiants bloquent plusieurs places en différant leur choix

définitif.

En tout état de cause Parcours sup devra connaître de profondes évolutions

  • D’abord dans sa gestion en établissement,et dans la lourdeur des

    dossiers élèves à compléter dont on ne sait pas,au final, ce qui est

    pris en compte.
  • Ensuite dans le délai pour fixer et affecter

    définitivement les étudiants. Ainsi, il serait normal que pour le 13

    juillet, tous ceux qui se sont vus proposer un ou plusieurs choix soient

    contraints d’en choisir un libérant ainsi des places plutôt que de

    bloquer le système.

Enfin parlons de l’expérimentation bac pro BTS, si elle est un succès

statistique du point de vue de l’affectation, elle est selon nous un

échec cinglant pour la réussite des jeunes issus de bac pro plus

particulièrement dans les filières tertiaires et sanitaires et sociales.

Ces jeunes démissionnent rapidement, sont découragés ou ont pris cette option en attente d’autre chose.

Cela met en péril les sections de BTS notamment en deuxième année, et

de fait ne contribue pas à la montée en qualification souhaitée pour

les élèves de bac pro.

Si l’on veut la réussite de ces élèves il faut y mettre de réels

moyens. Les classes passerelles, décidées dans l’urgence,annoncées le 11

juin sontmises en place sans le temps de réflexion nécessaire. 2000

places au plan national, 6 divisions dans notre académie, ne

représentent qu’une goutte d’eau face à l’étendue des difficultés. Nous

saluons les collègues qui ont dû mettre en place ces sections, avec des

moyens obtenus au dernier moment, hors structure, mais comment croire

que les jeunes vont se déplacer massivement vers ces 6 pôles académiques

Une fois de plus l’effet d’annonce masque l’absence d’effets réels sur le traitement de la difficulté.
Soyons en certains ce n’est pas cette mesure non plus qui contribuera à

la mobilité sociale ascendante dont il a souvent été question dans notre

académie ces dernières années !

Parlons rapidement des postes de personnels de direction, nous vous

demandons Madame le Recteur de combattre au niveau national l’hémorragie

en poste de personnel de direction qui frappe l’académie depuis de trop

nombreuses années. Si l’on ouvre des collèges et des lycées dans les

académies du sud du pays, Bordeaux, Grenoble, Toulouse notamment, et que

l’on ne ferme aucun établissement ailleurs, la logique de solidarité

nationale ne peut être mise en avant. Pour nous l’équation est simple :

plus d’établissement au plan national implique plus de personnel de

direction et non un redéploiement à moyens constants.

Enfin, nous l’avons dit le SNPDEN UNSA est un syndicat progressiste

et réformiste, ainsi nous avons nationalement soutenu la réforme du

baccalauréat, mais nous sommes aussi intervenus avec succès pour

empêcher que les nouvelles modalités d’examen ne deviennent une usine à

gaz alourdissant entre autres la charge de travail des personnels de

direction.

Nous continuerons à être force de proposition et garde-fou pour la mise en place des épreuves et leurs conditions de passations.

De même le SNPDEN UNSA porte ses mandats sur le thème du bac-3/bac+3

et veut que l’enseignement supérieur soit explicite sur les choix

attendus de spécialité pour telle ou telle formation. L’année 2018-2019

devra permettre aux établissements du supérieur de préciser leurs

attendus, si l’on veut que les choix d’orientation post-bac puissent se

faire en toute transparence pour nos élèves.

Rappelons que les personnels de direction représentent environ 1.3%

des personnels de l’Education nationale. Pour être entendus et écoutés,

ils ont besoin d’un syndicat fort et de la puissance d’une fédération.

Bonne rentrée et bonne année scolaire à toutes et tous
 
Merci pour votre écoute Madame le Recteur.

SNPDEN Lille

Le SNPDEN UNSA, syndicat progressiste au service de tous les

personnels de direction, est un syndicat représentatif de tous les

collègues Adjoints et Chefs. C’est le SNPDEN UNSA qui historiquement est

à l’origine de nombreuses avancées catégorielles. Il est également

producteur de réflexions sur les avancées indispensables qui doivent

aujourd’hui faire progresser notre système éducatif, en contribuant

notamment à remédier aux difficultés socialesdes familles, point

particulièrement sensible dans notre académie.

Aujourd’hui, à l’aube de cette nouvelle année scolaire, les

Personnels de Direction sont excédés par les multiples commandes et

procédures satellites que veut nous imposer l’État : DUERP, RGPD,

interdiction des portables au collège, la liste n’est pas close quand il

ne s’agit pas de la marotte musicale ministérielle qui connaît son An 2

avec le succès que l’on sait.

Toutes ces choses et idées nouvelles donc forcément géniales

pourraient nous détourner des missions premières qui sont celles de

l’école. Les personnels de direction iront comme d’habitude à

l’essentiel, seule façon de réussir une rentrée et au-delà toute une

année scolaire.

D’un point de vue matériel, la rentrée a été préparée de manière

satisfaisante, les professeurs en BMP et les professeurs stagiaires ont

été nommés pour le 20 juillet comme annoncés et nous en remercions les

services. Il subsiste ici ou là des postes non pourvus, nous ne

l’ignorons pas, mais il s’agit le plus souvent d’un manque de vivier

difficile à combler pour certaines disciplines.

Nous ne reviendrons pas ici sur les examens et attendrons le ou les

groupes de travail pour faire remonter nos observations et nos souhaits

d’amélioration. Toutefois nous regrettons le fonctionnement de

l’application CYCLADE, très peu fonctionnelle et ergonomique. Le

ministère a décidé de fermer SIRHEN durant l’été vu son inefficacité à

suivre la gestion des personnels. Nous ne pouvons qu’espérer que cela

soit la première étape d’un grand renouveau des applications

informatiques nationales.

Pour cette année scolaire, en collège tout d’abord

Deux points saillants : Premièrement l’extension du dispositif

devoirs faits, les moyens ont été alloués et les principaux et leurs

adjoints peuvent organiser devoirs faits en toute connaissance de cause.

Cependant il faut souligner que là encore il sera fait au mieux, mais

sans illusion : l’objectif ministériel de pouvoir proposer à chaque

élève 4 heures hebdomadaires de devoirs faits correspondra à coup sûr à

une très rare exception plutôt qu’à une réalité quasi généralisée.

Deuxièmement l’Interdiction des Portables aux collèges, ce martial message ministériel

va sans nul doute faire les choux gras de la presse lors de cette

rentrée, comme le prouvent les sollicitations des médias que nous avons

déjà. Malheureusement ce raccourci racoleur est avant tout un coup

médiatique qui collatéralement va faire naître ou renaître des tensions

dans les établissements. En effet l’article L 551-5 du code de

l’éducation, moins clinquant mais plus conforme au droit indique :

L’utilisation d’un téléphone mobile ou de tout autre équipement

terminal de communications électroniques par un élève est interdite dans

les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges et

pendant toute activité liée à l’enseignement qui se déroule à

l’extérieur de leur enceinte, à l’exception des circonstances, notamment

les usages pédagogiques, et des lieux dans lesquels le règlement

intérieur l’autorise expressément.

Autrement dit exactement ce que prévoient la plupart des règlements intérieurs depuis de nombreuses années.

L’article L551-5 parle également de la possibilité de confiscation du

portable, là encore nous engageons les collègues à la plus grande

prudence.

Venons-en aux Lycées et Lp.

Nous aurons à mettre en place une réforme dont pour l’instant on

connaît assez peu de choses concrètes pour la voie générale et

technologique et moins encore pour la voie professionnelle.

Dès la prérentrée les équipes vont nous questionner sur l’avenir, les

modifications, les enseignements ou formations retenues pour

l’établissement et l’impact redouté sur les postes.

De même, alors que l’on nous rebat les oreilles avec l’orientation

qui paraît-il ne fonctionne pas ou pas assez bien et qui serait de fait

une cause essentielle de l’échec scolaire.

Il ne nous sera pas possible lors de cette rentrée d’indiquer à nos

entrants de seconde quel sera le type d’études qu’ils pourront faire ni

même si les enseignements désirés seront proposés dans leur lycée ou

non. De même en voie pro quels changements et quel avenir ?

Une fois encore les personnels de direction, en première ligne dans

les relations avec les familles et les personnels, risquent d’être

discrédités car ils ne seront pas en mesure de répondre aux légitimes questions de leurs interlocuteurs, sauf à diffuser la Une du PARISIEN sur l’ENT de leur établissement pour peu que la RGPD ne s’y oppose pas.

Nous formulons la demande des groupes de travail très tôt dans

l’année ainsi que de plénières avec l’ensemble des personnels de

direction concernés pour préparer au mieux ces réformes.

Nous serons vigilants à ce que les difficultés de mise en place de la

réforme du collège ne soient pas renouvelées et amplifiées lors de la

mise en place de cette réforme du lycée.

Pour la carte des enseignements à mettre en place nous réclamons un

pilotage académique précis et rapide, l’idée de déléguer la mission de

répartition des enseignements au niveau des bassins nous semble à tout

le moins inappropriée et dans certains cas, dangereuse.

Venons-en au post-bac.

Si parcoursup ne peut être vu comme un échec, il est très loin du

franc succès. Certes les tirages au sort ont disparu, et tous les bons

dossiers se sont vu proposer des formations. En revanche il subsiste de

trop nombreux bacheliers sans solutions à quelques jours de la rentrée,

souvent parmi les jeunes les plus fragiles scolairement et socialement.

Se voir proposer fin août une affectation que l’on ne souhaite pas

dans un endroit parfois très éloigné va améliorer les statistiques de

parcours sup, mais accroître les difficultés pour de très nombreux

jeunes.
Pire encore, de nombreuses familles ont finalement fait le choix du

privé pour être certains que leur enfant puisse poursuivre des études,

est-ce un dommage collatéral ou une volonté masquée du pouvoir, l’avenir

le dira !

Certaines sections de BTS ou de prépa ne font pas le plein parce que

des étudiants bloquent plusieurs places en différant leur choix

définitif.

En tout état de cause Parcours sup devra connaître de profondes évolutions

Enfin parlons de l’expérimentation bac pro BTS, si elle est un succès

statistique du point de vue de l’affectation, elle est selon nous un

échec cinglant pour la réussite des jeunes issus de bac pro plus

particulièrement dans les filières tertiaires et sanitaires et sociales.

Ces jeunes démissionnent rapidement, sont découragés ou ont pris cette option en attente d’autre chose.

Cela met en péril les sections de BTS notamment en deuxième année, et

de fait ne contribue pas à la montée en qualification souhaitée pour

les élèves de bac pro.

Si l’on veut la réussite de ces élèves il faut y mettre de réels

moyens. Les classes passerelles, décidées dans l’urgence,annoncées le 11

juin sontmises en place sans le temps de réflexion nécessaire. 2000

places au plan national, 6 divisions dans notre académie, ne

représentent qu’une goutte d’eau face à l’étendue des difficultés. Nous

saluons les collègues qui ont dû mettre en place ces sections, avec des

moyens obtenus au dernier moment, hors structure, mais comment croire

que les jeunes vont se déplacer massivement vers ces 6 pôles académiques

Une fois de plus l’effet d’annonce masque l’absence d’effets réels sur le traitement de la difficulté.
Soyons en certains ce n’est pas cette mesure non plus qui contribuera à

la mobilité sociale ascendante dont il a souvent été question dans notre

académie ces dernières années !

Parlons rapidement des postes de personnels de direction, nous vous

demandons Madame le Recteur de combattre au niveau national l’hémorragie

en poste de personnel de direction qui frappe l’académie depuis de trop

nombreuses années. Si l’on ouvre des collèges et des lycées dans les

académies du sud du pays, Bordeaux, Grenoble, Toulouse notamment, et que

l’on ne ferme aucun établissement ailleurs, la logique de solidarité

nationale ne peut être mise en avant. Pour nous l’équation est simple :

plus d’établissement au plan national implique plus de personnel de

direction et non un redéploiement à moyens constants.

Enfin, nous l’avons dit le SNPDEN UNSA est un syndicat progressiste

et réformiste, ainsi nous avons nationalement soutenu la réforme du

baccalauréat, mais nous sommes aussi intervenus avec succès pour

empêcher que les nouvelles modalités d’examen ne deviennent une usine à

gaz alourdissant entre autres la charge de travail des personnels de

direction.

Nous continuerons à être force de proposition et garde-fou pour la mise en place des épreuves et leurs conditions de passations.

De même le SNPDEN UNSA porte ses mandats sur le thème du bac-3/bac+3

et veut que l’enseignement supérieur soit explicite sur les choix

attendus de spécialité pour telle ou telle formation. L’année 2018-2019

devra permettre aux établissements du supérieur de préciser leurs

attendus, si l’on veut que les choix d’orientation post-bac puissent se

faire en toute transparence pour nos élèves.

Rappelons que les personnels de direction représentent environ 1.3%

des personnels de l’Education nationale. Pour être entendus et écoutés,

ils ont besoin d’un syndicat fort et de la puissance d’une fédération.

Bonne rentrée et bonne année scolaire à toutes et tous
 
Merci pour votre écoute Madame le Recteur.

SNPDEN Lille