Déclaration CHSCTde la Vienne

Après les multiples alertes et réunions de ces derniersjours, l’Unsa Éducation appelle le gouvernement à répondre au plus vite auxdemandes et à la colère des personnels de l’Éducation nationale.

 Dans ce contexte de double  en particulier porte une lourde responsabilité dans l’épuisement et la colère légitimes de la profession.

 

L’Unsa-Education a :

  • averti solennellement l’exécutif de l’état d’exaspération et d’épuisement ;
  • demandé la diminution des groupes d’élèves dès qu’il n’est pas possible d’appliquer le protocole ;
  • demandé la suspension de toutes les réunions et formations non-urgentes ;
  • demandé au ministère de mettre en place des journées banalisées s’il faut passer à de nouvelles étapes (nouveau protocole, fonctionnement pédagogique en alternance ou continuité

    pédagogique) ;
  • fait des propositions d’aménagement des programmes et des examens ;
  • demandé des recrutements de personnels en particulier par le recours aux listes complémentaires, des recrutements d’assistant d’éducation dans le 1er comme dans le 2d degré.

Ces avertissements et demandes ont été portées à tous les niveaux et dans de multiples instances : comité technique ministériel, comité de suivi de la réforme du lycée, réunion ministérielle faisant suite à l’alerte sociale, interventions auprès du ministère.

 L’Unsa Education appelle les équipes à faire entendre tous leurs problèmes de protection et de conditions de travail.

Concernant les agents vulnérables, l’UNSA Éducation se félicite de voir enfin la liste des critères à nouveau élargie officiellement, ce qui correspondant à sa demande. Nous vous demandons

que chaque agent.e soient informé.e de toute disposition règlementaire ou communication institutionnelle via sa messagerie professionnelle.

Toutefois, la circulaire peut amener des agents vulnérables à travailler en présentiel, selon des critères qui peuvent être interprétables. Nous demandons la plus grande vigilance pour

ces situations, qui ne doivent en aucun cas faire prendre de risques aux agent.es.

 Avant de terminer, je tiens à rappeler, comme l’a réitéré notre fédération UNSA Fonction publique auprès de la ministre de la transformation et de la fonction publiques que le fait d’avoir rétabli l’application du jour de carence depuis juillet 2020 est un élément qui contribue à aggraver la progression de l’épidémie. Cela conduit les agents publics à minorer leurs symptômes pour éviter des prélèvements sur salaire. Pour l’UNSA FP, comme pour l’UNSA Éducation, il faut d’urgence cesser cette logique et abroger le jour de carence, injuste et inefficace en temps normal mais encore plus en période épidémique.

 Les représentants de l’Unsa-Education

 Jean-François ROLAND

Hélène BLIN

Cécile CAPY

Laurent CARDONA

Après les multiples alertes et réunions de ces derniersjours, l’Unsa Éducation appelle le gouvernement à répondre au plus vite auxdemandes et à la colère des personnels de l’Éducation nationale.

 Dans ce contexte de double  en particulier porte une lourde responsabilité dans l’épuisement et la colère légitimes de la profession.

 

L’Unsa-Education a :

Ces avertissements et demandes ont été portées à tous les niveaux et dans de multiples instances : comité technique ministériel, comité de suivi de la réforme du lycée, réunion ministérielle faisant suite à l’alerte sociale, interventions auprès du ministère.

 L’Unsa Education appelle les équipes à faire entendre tous leurs problèmes de protection et de conditions de travail.

Concernant les agents vulnérables, l’UNSA Éducation se félicite de voir enfin la liste des critères à nouveau élargie officiellement, ce qui correspondant à sa demande. Nous vous demandons

que chaque agent.e soient informé.e de toute disposition règlementaire ou communication institutionnelle via sa messagerie professionnelle.

Toutefois, la circulaire peut amener des agents vulnérables à travailler en présentiel, selon des critères qui peuvent être interprétables. Nous demandons la plus grande vigilance pour

ces situations, qui ne doivent en aucun cas faire prendre de risques aux agent.es.

 Avant de terminer, je tiens à rappeler, comme l’a réitéré notre fédération UNSA Fonction publique auprès de la ministre de la transformation et de la fonction publiques que le fait d’avoir rétabli l’application du jour de carence depuis juillet 2020 est un élément qui contribue à aggraver la progression de l’épidémie. Cela conduit les agents publics à minorer leurs symptômes pour éviter des prélèvements sur salaire. Pour l’UNSA FP, comme pour l’UNSA Éducation, il faut d’urgence cesser cette logique et abroger le jour de carence, injuste et inefficace en temps normal mais encore plus en période épidémique.

 Les représentants de l’Unsa-Education

 Jean-François ROLAND

Hélène BLIN

Cécile CAPY

Laurent CARDONA