13 académies pour 13 régions, sans garanties pour l’UNSA c’est non !

Avant sa publication la semaine prochaine, les rapporteurs ont présenté les grandes lignes du rapport. Il comportera des recommandations, les ministres pourront décider d’en retenir certaines et de les mettre en œuvre … ou pas.

Le rapport dresse un bilan très mitigé du fonctionnement et de l’organisation actuels des régions académiques et il préconise à terme de calquer les périmètres des académies sur celui des 13 régions métropolitaines.

Pour l’UNSA Éducation, nous partageons le constat sur les difficultés de fonctionnement autour de l’articulation entre les recteurs académiques et le recteur de région académique qui peut conduire à un affaiblissement de l’Éducation Nationale dans les relations avec les autres services de l’État et les Régions.
Actuellement, il nous semble que c’est avant tout dans l’absence d’une « chaine hiérarchique claire et lisible » que résident les difficultés actuelles et il serait possible d’y remédier sans chambouler l’ensemble des organisations actuelles, déjà fortement impactées par les précédentes réorganisations.

Pour l’UNSA Éducation, l’évolution de l’organisation territoriale ne peut aboutir à une transformation uniforme.  Notre approche reste celle de l’amélioration du service public, de l’amélioration de la gestion des ressources humaines dans la proximité et de l’accompagnement des personnels en cas d’évolutions.
Certes, les rapporteurs semblent traiter différemment les régions en fonction de leurs particularités notamment territoriales en prévoyant par exemple des recteurs adjoints et des vice-chanceliers pour les plus vastes. Pour autant, l’UNSA Éducation n’est pas convaincue que cela permettre de faire vivre efficacement le service public qui a le plus grand nombre d’agents et la plus forte présence territoriale au travers de son nombre important d’écoles et établissements. Par ailleurs, les rapporteurs annoncent également le maintien au moins dans un premier temps des périmètres actuels de gestion des personnels. C’est un point de vigilance prioritaire pour l’UNSA Éducation.
Il reste encore bien d’autres questions en suspens dans les modalités précises d’organisation, de gouvernance et de gestion avec une attention particulière pour l’échelon départemental Nous attendrons de connaître précisément le contenu du rapport et surtout les arbitrages des ministres. Nous serons également très attentifs à croiser ses orientations pour l’Education Nationale avec les  évolutions qui découleront du dossier action publique 2022.

En amont des arbitrages des ministres, l’UNSA Éducation rencontrera la secrétaire générale de deux ministères pour faire valoir ses propositions à l’aune de ses deux préoccupations majeures :
La qualité du service public d’Éducation sur l’ensemble du territoire et les conditions d’exercice de l’ensemble des personnels.

L’UNSA Éducation rappelle que ces évolutions ne sont pas une fin en soi. Elles ne peuvent être menées au pas de charge. L’UNSA Éducation, fédération de tous les métiers de l’éducation, exige que les transformations se construisent  avec tous les personnels au travers notamment d’un dialogue social de qualité tant nationalement que localement.

Avant sa publication la semaine prochaine, les rapporteurs ont présenté les grandes lignes du rapport. Il comportera des recommandations, les ministres pourront décider d’en retenir certaines et de les mettre en œuvre … ou pas.

Le rapport dresse un bilan très mitigé du fonctionnement et de l’organisation actuels des régions académiques et il préconise à terme de calquer les périmètres des académies sur celui des 13 régions métropolitaines.

Pour l’UNSA Éducation, nous partageons le constat sur les difficultés de fonctionnement autour de l’articulation entre les recteurs académiques et le recteur de région académique qui peut conduire à un affaiblissement de l’Éducation Nationale dans les relations avec les autres services de l’État et les Régions.
Actuellement, il nous semble que c’est avant tout dans l’absence d’une « chaine hiérarchique claire et lisible » que résident les difficultés actuelles et il serait possible d’y remédier sans chambouler l’ensemble des organisations actuelles, déjà fortement impactées par les précédentes réorganisations.

Pour l’UNSA Éducation, l’évolution de l’organisation territoriale ne peut aboutir à une transformation uniforme.  Notre approche reste celle de l’amélioration du service public, de l’amélioration de la gestion des ressources humaines dans la proximité et de l’accompagnement des personnels en cas d’évolutions.
Certes, les rapporteurs semblent traiter différemment les régions en fonction de leurs particularités notamment territoriales en prévoyant par exemple des recteurs adjoints et des vice-chanceliers pour les plus vastes. Pour autant, l’UNSA Éducation n’est pas convaincue que cela permettre de faire vivre efficacement le service public qui a le plus grand nombre d’agents et la plus forte présence territoriale au travers de son nombre important d’écoles et établissements. Par ailleurs, les rapporteurs annoncent également le maintien au moins dans un premier temps des périmètres actuels de gestion des personnels. C’est un point de vigilance prioritaire pour l’UNSA Éducation.
Il reste encore bien d’autres questions en suspens dans les modalités précises d’organisation, de gouvernance et de gestion avec une attention particulière pour l’échelon départemental Nous attendrons de connaître précisément le contenu du rapport et surtout les arbitrages des ministres. Nous serons également très attentifs à croiser ses orientations pour l’Education Nationale avec les  évolutions qui découleront du dossier action publique 2022.

En amont des arbitrages des ministres, l’UNSA Éducation rencontrera la secrétaire générale de deux ministères pour faire valoir ses propositions à l’aune de ses deux préoccupations majeures :
La qualité du service public d’Éducation sur l’ensemble du territoire et les conditions d’exercice de l’ensemble des personnels.

L’UNSA Éducation rappelle que ces évolutions ne sont pas une fin en soi. Elles ne peuvent être menées au pas de charge. L’UNSA Éducation, fédération de tous les métiers de l’éducation, exige que les transformations se construisent  avec tous les personnels au travers notamment d’un dialogue social de qualité tant nationalement que localement.