Violences conjugales et enfants co-victimes : Remise du rapport du centre Hubertine Auclert

En France, une femme meurt encore tous les trois jours sous les coups de son compagnon ou ex-compagnon et ce chiffre abominable ne diminue pas avec les années.

Selon la dernière étude du ministère de l’Intérieur : 138 personnes sont décédées en 2016, victimes de la violence de leurs partenaires ou ex-partenaires et 80% des auteurs de ces homicides sont des hommes.

Les femmes ne sont pas les seules victimes. Plus d’une vingtaine d’enfants ont également succombé aux violences conjugales.

60% des enfants qui vivent dans des foyers où sévissent des violences conjugales souffrent de troubles post-traumatiques et 40% d’entres eux sont directement victimes de violences physiques.

Pour la fédération Unsa Éducation, la lutte contre toutes les violences est une priorité et ces chiffres sont intolérables.

Afin d’alerter les décideurs politiques sur les conséquences graves et durables des enfants co-victimes de ces violences domestiques, l’Observatoire Régional des Violences faites aux Femmes (ORVF) du centre Hubertine Auclert remet le 7 septembre 2017 un rapport qui propose des préconisations concrètes au Conseil Régional d’IDF.

Pour l’UNSA Éducation, il faut agir et l’éducation à l’égalité femmes-hommes commence dès le plus jeune âge.

Notre fédération s’associe donc à cette initiative car professeurs, psychologues, infirmières, médecins, personnels de direction, assistants de service social, l’ensemble des personnels de l’éducation … de par leur métier et leur proximité avec les familles et les enfants, sont potentiellement plus susceptibles d’être confrontés à ce phénomène.

Il est indispensable de leur apporter toutes les informations, formations et ressources existantes et nécessaires afin d’avoir les moyens d’agir efficacement le cas échéant. Ce rapport qui fait un constat détaillé de la situation sera sans nul doute une ressource précieuse et utile dans ce cadre-là.

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En France, une femme meurt encore tous les trois jours sous les coups de son compagnon ou ex-compagnon et ce chiffre abominable ne diminue pas avec les années.

Selon la dernière étude du ministère de l’Intérieur : 138 personnes sont décédées en 2016, victimes de la violence de leurs partenaires ou ex-partenaires et 80% des auteurs de ces homicides sont des hommes.

Les femmes ne sont pas les seules victimes. Plus d’une vingtaine d’enfants ont également succombé aux violences conjugales.

60% des enfants qui vivent dans des foyers où sévissent des violences conjugales souffrent de troubles post-traumatiques et 40% d’entres eux sont directement victimes de violences physiques.

Pour la fédération Unsa Éducation, la lutte contre toutes les violences est une priorité et ces chiffres sont intolérables.

Afin d’alerter les décideurs politiques sur les conséquences graves et durables des enfants co-victimes de ces violences domestiques, l’Observatoire Régional des Violences faites aux Femmes (ORVF) du centre Hubertine Auclert remet le 7 septembre 2017 un rapport qui propose des préconisations concrètes au Conseil Régional d’IDF.

Pour l’UNSA Éducation, il faut agir et l’éducation à l’égalité femmes-hommes commence dès le plus jeune âge.

Notre fédération s’associe donc à cette initiative car professeurs, psychologues, infirmières, médecins, personnels de direction, assistants de service social, l’ensemble des personnels de l’éducation … de par leur métier et leur proximité avec les familles et les enfants, sont potentiellement plus susceptibles d’être confrontés à ce phénomène.

Il est indispensable de leur apporter toutes les informations, formations et ressources existantes et nécessaires afin d’avoir les moyens d’agir efficacement le cas échéant. Ce rapport qui fait un constat détaillé de la situation sera sans nul doute une ressource précieuse et utile dans ce cadre-là.

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