UNSA Fonction publique : «Il est temps, aujourd’hui, de répondre à l’impatience des personnels.»

Guy Barbier, nouveau secrétaire général de l'UNSA Fonction publique a adressé le 7 janvier un courrier à Marylise Lebranchu, ministre de la Réforme de l'État, de la Décentralisation et de la Fonction publique.

Guy Barbier, nouveau secrétaire général de l’UNSA Fonction publique a adressé le 7 janvier un courrier à Marylise Lebranchu, ministre de la Réforme de l’État, de la Décentralisation et de la Fonction publique.

Alors qu’un cycle de discussions approfondies sur l’ensemble des chantiers de la Fonction publique a été engagé depuis l’été dernier, l’UNSA Fonction publique, dans la lettre à la ministre, a rappelé sa volonté d’une refonte d’ensemble de la grille de la Fonction publique, mais aussi ses priorités immédiates sur l’emploi public, la catégorie C, la suppression de la journée de carence.

«Sept mois se sont écoulés depuis l’installation du gouvernement», écrit Guy Barbier. «L’UNSA Fonction publique se satisfait qu’ils aient permis de faire les bilans nécessaires sur la base d’un dialogue social de qualité. Il est temps, aujourd’hui, de répondre à l’impatience des personnels.»

Lire le texte intégral de la lettre (PDF)

 

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Guy Barbier, nouveau secrétaire général de l’UNSA Fonction publique a adressé le 7 janvier un courrier à Marylise Lebranchu, ministre de la Réforme de l’État, de la Décentralisation et de la Fonction publique.

Alors qu’un cycle de discussions approfondies sur l’ensemble des chantiers de la Fonction publique a été engagé depuis l’été dernier, l’UNSA Fonction publique, dans la lettre à la ministre, a rappelé sa volonté d’une refonte d’ensemble de la grille de la Fonction publique, mais aussi ses priorités immédiates sur l’emploi public, la catégorie C, la suppression de la journée de carence.

«Sept mois se sont écoulés depuis l’installation du gouvernement», écrit Guy Barbier. «L’UNSA Fonction publique se satisfait qu’ils aient permis de faire les bilans nécessaires sur la base d’un dialogue social de qualité. Il est temps, aujourd’hui, de répondre à l’impatience des personnels.»

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