Un seul recteur pour plusieurs académies : l’UNSA Éducation constructive et exigeante

L’UNSA Éducation a voté favorablement le décret présenté lors du CTMEN qui permet de manière dérogatoire de nommer un seul recteur pour administrer une région académique. La réorganisation territoriale de l’Éducation nationale est un sujet sensible pour l’ensemble des personnels. Des inquiétudes légitimes quant à la fusion d’académies voient le jour sur l’ensemble du territoire. Pour l’UNSA le choix de voter ce texte nous permet de ne pas laisser les mains libres au ministère sur ce dossier sensible. Nous serons encore plus légitimes pour être exigeants sur la suite de ce dossier. Nous avons déjà des garanties :

L’UNSA Éducation a voté favorablement le décret présenté lors du comité technique ministériel (CTMEN) qui permet de manière dérogatoire de nommer un seul recteur pour administrer une région académique.


La réorganisation territoriale de l’Éducation nationale, en cours depuis la fusion des régions, est un sujet sensible pour l’ensemble des personnels. Des inquiétudes légitimes quant à la fusion d’académies voient le jour sur l’ensemble du territoire.


Pour l’UNSA le choix de voter ce texte nous permet de ne pas laisser les mains libres au ministère sur ce dossier sensible. Nous serons encore plus légitimes pour être exigeants sur la suite.


Dans le cadre prévu, le recteur unique peut renforcer la parole de l’Éducation nationale face aux différents interlocuteurs institutionnels régionaux (directions régionales, président de région). L’UNSA Éducation y voit notamment un avantage en termes de qualité du dialogue. Le fonctionnement à plusieurs recteurs a montré ses limites en particulier quand ils ont des positions divergentes.
Il faudra bien évidemment porter une attention particulière au rôle des secrétaires généraux d’académie et à celui de l’encadrement intermédiaire. Chacun doit continuer à garder sa place et assumer ses prérogatives en tenant compte des préoccupations spécifiques à chaque académie.
L’UNSA Éducation sera exigeante sur la qualité du dialogue social que le recteur devra préserver dans les deux académies.

 

Nous avons déjà des garanties :

– Cette dérogation ne fait pas disparaître les académies actuelles. Il n’y aura pas de réorganisation administrative, ni de fusions de rectorats dans ce cadre.

– Nous serons associés dans des discussions sur la future évolution territoriale dès cet automne avant les retours (prévus en janvier) d’une mission lancée fin septembre sur le sujet.

– Pour le moment, seule la Normandie est concernée par la dérogation. Si d’autres expérimentations devaient se faire le ministère s’est engagé à nous informer en amont.

En émettant un vote positif sur ce texte qui dérogera au droit commun, l’UNSA Education se veut constructive pour l’avenir de l’école et de ses personnels mais notre fédération et ses syndicats seront en même temps attentifs et exigeants.

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L’UNSA Éducation a voté favorablement le décret présenté lors du comité technique ministériel (CTMEN) qui permet de manière dérogatoire de nommer un seul recteur pour administrer une région académique.


La réorganisation territoriale de l’Éducation nationale, en cours depuis la fusion des régions, est un sujet sensible pour l’ensemble des personnels. Des inquiétudes légitimes quant à la fusion d’académies voient le jour sur l’ensemble du territoire.


Pour l’UNSA le choix de voter ce texte nous permet de ne pas laisser les mains libres au ministère sur ce dossier sensible. Nous serons encore plus légitimes pour être exigeants sur la suite.


Dans le cadre prévu, le recteur unique peut renforcer la parole de l’Éducation nationale face aux différents interlocuteurs institutionnels régionaux (directions régionales, président de région). L’UNSA Éducation y voit notamment un avantage en termes de qualité du dialogue. Le fonctionnement à plusieurs recteurs a montré ses limites en particulier quand ils ont des positions divergentes.
Il faudra bien évidemment porter une attention particulière au rôle des secrétaires généraux d’académie et à celui de l’encadrement intermédiaire. Chacun doit continuer à garder sa place et assumer ses prérogatives en tenant compte des préoccupations spécifiques à chaque académie.
L’UNSA Éducation sera exigeante sur la qualité du dialogue social que le recteur devra préserver dans les deux académies.

 

Nous avons déjà des garanties :

– Cette dérogation ne fait pas disparaître les académies actuelles. Il n’y aura pas de réorganisation administrative, ni de fusions de rectorats dans ce cadre.

– Nous serons associés dans des discussions sur la future évolution territoriale dès cet automne avant les retours (prévus en janvier) d’une mission lancée fin septembre sur le sujet.

– Pour le moment, seule la Normandie est concernée par la dérogation. Si d’autres expérimentations devaient se faire le ministère s’est engagé à nous informer en amont.

En émettant un vote positif sur ce texte qui dérogera au droit commun, l’UNSA Education se veut constructive pour l’avenir de l’école et de ses personnels mais notre fédération et ses syndicats seront en même temps attentifs et exigeants.