Un secrétaire d’État attendu sur les nombreux dossiers urgents de l’ESR

L’UNSA Éducation prend acte de la nomination de Thierry Mandon comme secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche. Cette nomination était attendue et nécessaire après plus de trois mois de vacance de ce poste gouvernemental, et alors que de nombreux dossiers demandent des réponses urgentes.

L’UNSA Éducation prend acte de la nomination de Thierry Mandon comme secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche. Cette nomination était attendue et nécessaire après plus de trois mois de vacance de ce poste gouvernemental, et alors que de nombreux dossiers demandent des réponses urgentes.

L’UNSA Éducation, signataire d’un agenda social dans l’ESR, demande sa mise en œuvre rapide avec l’ouverture des groupes de travail prévus pour les personnels de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il convient en effet de mieux prendre en compte et de mieux reconnaître les personnels BIATSS, de répondre à la crise que traverse l’emploi scientifique, de donner corps à la reconnaissance du doctorat.

Les questions budgétaires et les difficultés économiques que rencontrent de nombreuses universités et organismes de recherche nécessitent également d’être prises rapidement en compte.

Au-delà, c’est l’ESR de demain qu’il s’agit de construire en élaborant des réponses concrètes à la lutte contre l’échec massif des étudiants en premières années de licence, en réfléchissant à la place respective de l’ensemble des formations post-bac, et en donnant sens à l’articulation bac-3 bac+3.

Sur l’ensemble de ces chantiers, l’UNSA Éducation et ses syndicats de l’ESR (Sup’Recherche, UNSA ITRF-BI-O, A&I ainsi que les SNMSU, SNIES et SNASEN) sont forces de propositions et ont sollicité une rencontre avec le tout nouveau secrétaire d’État à l’ESR.


Ivry-sur-Seine, le 18 juin 2015


Laurent Escure

Secrétaire général

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L’UNSA Éducation prend acte de la nomination de Thierry Mandon comme secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche. Cette nomination était attendue et nécessaire après plus de trois mois de vacance de ce poste gouvernemental, et alors que de nombreux dossiers demandent des réponses urgentes.

L’UNSA Éducation, signataire d’un agenda social dans l’ESR, demande sa mise en œuvre rapide avec l’ouverture des groupes de travail prévus pour les personnels de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il convient en effet de mieux prendre en compte et de mieux reconnaître les personnels BIATSS, de répondre à la crise que traverse l’emploi scientifique, de donner corps à la reconnaissance du doctorat.

Les questions budgétaires et les difficultés économiques que rencontrent de nombreuses universités et organismes de recherche nécessitent également d’être prises rapidement en compte.

Au-delà, c’est l’ESR de demain qu’il s’agit de construire en élaborant des réponses concrètes à la lutte contre l’échec massif des étudiants en premières années de licence, en réfléchissant à la place respective de l’ensemble des formations post-bac, et en donnant sens à l’articulation bac-3 bac+3.

Sur l’ensemble de ces chantiers, l’UNSA Éducation et ses syndicats de l’ESR (Sup’Recherche, UNSA ITRF-BI-O, A&I ainsi que les SNMSU, SNIES et SNASEN) sont forces de propositions et ont sollicité une rencontre avec le tout nouveau secrétaire d’État à l’ESR.


Ivry-sur-Seine, le 18 juin 2015


Laurent Escure

Secrétaire général