Un combat pour la liberté :  » 12 Years a slave »

Le film 12 Years a Slave de Steve McQueen est une adaptation des Mémoires de Solomon Northup.

Peu avant la guerre de Sécession, un homme noir de 33 ans, vivant dans l’État de New York avec sa famille et travaillant comme charpentier et violoniste, est enlevé et vendu comme esclave. Face à la cruauté d’un propriétaire de plantation de coton, convaincu que maltraiter les esclaves est autorisé par la Bible, Solomon se bat, pendant 12 années, de 1841 à 1853, pour rester en vie et garder sa dignité.

Cet esclavagiste pervers, incarnant le Mal, est joué par l’acteur fétiche de McQueen : Michael Fassbender présent dans ses deux précédents films Hunger et Shame.

La caméra est au plus près de ce personnage, sans nom, sans humanité, qui n’est plus qu’un corps, portant les stigmates de l’esclavagisme. La scène mémorable où le héros, lynché, est suspendu à une corde, ses pieds touchant le sol par intermittence est une scène terrible qui place, une fois encore, le corps au centre de la réflexion du cinéaste.

Ici, l’esclavagisme est filmé sans détour, avec force et violence comme le combat de cet homme pour son humanité et sa liberté.


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Le film 12 Years a Slave de Steve McQueen est une adaptation des Mémoires de Solomon Northup.

Peu avant la guerre de Sécession, un homme noir de 33 ans, vivant dans l’État de New York avec sa famille et travaillant comme charpentier et violoniste, est enlevé et vendu comme esclave. Face à la cruauté d’un propriétaire de plantation de coton, convaincu que maltraiter les esclaves est autorisé par la Bible, Solomon se bat, pendant 12 années, de 1841 à 1853, pour rester en vie et garder sa dignité.

Cet esclavagiste pervers, incarnant le Mal, est joué par l’acteur fétiche de McQueen : Michael Fassbender présent dans ses deux précédents films Hunger et Shame.

La caméra est au plus près de ce personnage, sans nom, sans humanité, qui n’est plus qu’un corps, portant les stigmates de l’esclavagisme. La scène mémorable où le héros, lynché, est suspendu à une corde, ses pieds touchant le sol par intermittence est une scène terrible qui place, une fois encore, le corps au centre de la réflexion du cinéaste.

Ici, l’esclavagisme est filmé sans détour, avec force et violence comme le combat de cet homme pour son humanité et sa liberté.


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