Tirage au sort à l’université: mauvaise solution

Dans la toute dernière ligne droite des vœux sur APB, la Ministre de l’Éducation Nationale entérine le tirage au sort pour les filières en tension. La circulaire publiée au BO ce 27 avril 2017 relance la polémique de la sélection à l’université réglementairement interdite par le code de l’éducation pour les filières dites « libres », c’est-à-dire « non sélectives».

Pour l’UNSA Éducation, avec le boum démographique qui touche l’enseignement supérieur, il est clair que la situation n’est pas satisfaisante et que la solution proposée par ce texte n’est pas à la hauteur des enjeux.

Si le sujet n’est pas nouveau, c’est fort des résultats de notre Baromètre des métiers 2017, que l’UNSA Éducation continue de revendiquer l’ouverture du chantier Bac-3/Bac+3. Logique de parcours modulaires, de passerelles, et meilleure orientation, voilà que ce que nous portons depuis des années et qui a largement été plébiscité par les 30 000 répondants.

L’UNSA Éducation reste attachée à ce que l’Enseignement supérieur soit accessible à tous les jeunes ayant obtenu le bac et désirant poursuivre leurs études. Nous revendiquons donc la mise en œuvre d’une articulation entre les trois années de lycée et les trois années de licence sur la base d’une réorganisation du lycée et du baccalauréat.

En outre, nous rappelons qu’il est tout autant nécessaire de donner les moyens suffisants à l’université. C’est pourquoi l’UNSA Éducation porte une exigence forte pour le financement et la structuration de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Pour la réussite de chacune et chacun des étudiants, des mesures doivent être prises pour atteindre l’objectif de 3% du PIB consacré au financement de l’ESR.

Baromètre 2017 « Faire vivre le bac-3/ bac+3 » plébiscité

Nos 25 exigences pour l’Éducation

Procédure d’admission – circulaire n° 2017-077
 

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Pour l’UNSA Éducation, avec le boum démographique qui touche l’enseignement supérieur, il est clair que la situation n’est pas satisfaisante et que la solution proposée par ce texte n’est pas à la hauteur des enjeux.

Si le sujet n’est pas nouveau, c’est fort des résultats de notre Baromètre des métiers 2017, que l’UNSA Éducation continue de revendiquer l’ouverture du chantier Bac-3/Bac+3. Logique de parcours modulaires, de passerelles, et meilleure orientation, voilà que ce que nous portons depuis des années et qui a largement été plébiscité par les 30 000 répondants.

L’UNSA Éducation reste attachée à ce que l’Enseignement supérieur soit accessible à tous les jeunes ayant obtenu le bac et désirant poursuivre leurs études. Nous revendiquons donc la mise en œuvre d’une articulation entre les trois années de lycée et les trois années de licence sur la base d’une réorganisation du lycée et du baccalauréat.

En outre, nous rappelons qu’il est tout autant nécessaire de donner les moyens suffisants à l’université. C’est pourquoi l’UNSA Éducation porte une exigence forte pour le financement et la structuration de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Pour la réussite de chacune et chacun des étudiants, des mesures doivent être prises pour atteindre l’objectif de 3% du PIB consacré au financement de l’ESR.

Baromètre 2017 « Faire vivre le bac-3/ bac+3 » plébiscité

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Procédure d’admission – circulaire n° 2017-077