Sup’Recherche-Unsa réaffirme son engagement pour l’égalité femmes-hommes lors de son congrès.

Le syndicat Sup’Recherche-Unsa vient de tenir son congrès à Bordeaux les 29 et 30 novembre 2013.

Christine Roland-Lévy a cédé son poste de Secrétaire générale à Stéphane Leymarie, lui aussi très engagé dans la problématique de l’égalité femmes-hommes.
L’occasion, pour Sup’Recherche-Unsa de réaffirmer dans ses statuts sa volonté de contribuer à une réduction du plafond de verre au niveau des enseignant-e-s du supérieur et/ou des chercheur-e-s et de mettre en œuvre et de respecter tous les dispositifs adéquats pour parvenir à une proportion minimum de 40% de personnes de chaque sexe dans l’ensemble de ses instances.

 

Extraits de la Motion d’orientation du congrès de Bordeaux:« (…) Les valeurs de Sup’Recherche sont clairement affichées et sont d’ailleurs inscrites dans notre histoire : humanisme, transparence, démocratie, respect de la personne, égalité femmes-hommes, solidarité entre les générations et lutte contre toutes les formes de discrimination. Sup’Recherche agit pour plus de transparence, de démocratie, de solidarité et de respect des personnes (…)Nous agissons (…)pour que les femmes aient les mêmes chances d’évolution professionnelle, pour qu’aucun collègue ne soit pénalisé lors de sa retraite du fait d’une entrée tardive dans la carrière d’enseignant-chercheur ou de chercheur.

Pour une égalité réelle entre les Femmes et les Hommes dans l’ESR
Selon les sources du MESR, « les hommes constituent la majorité des enseignant-e-s et/ou chercheur-e-s (64,1% à l’université et dans les EPST), plus encore parmi les professeur-es ou directeurs-trices de recherche (76,1%), […] les disciplines les plus prestigieuses restent les plus masculinisées » .
Face à cette situation, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a développé un plan d’actions. Si la plupart de ces actions sont louables, elles ne sont pas encore suffisantes pour parvenir à une égalité réelle des chances, en particulier pour ce qui concerne les phénomènes de plafond de verre dans la progression de carrière.
Sup’Recherche appuie l’ensemble des mesures qui visent à réduire les inégalités entre les femmes et les hommes dans l’enseignement supérieur et la recherche et s’impliquera dans tous les groupes de travail qui pourront être lancés sur cette question afin de parvenir dans les meilleurs délais à une égalité réelle.
Sup’Recherche soutient, entre autres, l’obligation de tout mettre en œuvre pour parvenir à une proportion minimum de 40% de personnes de chaque sexe dans l’ensemble des instances. »
Sup’Recherche s’engage à mettre en œuvre et à respecter tous les dispositifs adéquats au sein de ses propres instances. »

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Le syndicat Sup’Recherche-Unsa vient de tenir son congrès à Bordeaux les 29 et 30 novembre 2013.

Christine Roland-Lévy a cédé son poste de Secrétaire générale à Stéphane Leymarie, lui aussi très engagé dans la problématique de l’égalité femmes-hommes.
L’occasion, pour Sup’Recherche-Unsa de réaffirmer dans ses statuts sa volonté de contribuer à une réduction du plafond de verre au niveau des enseignant-e-s du supérieur et/ou des chercheur-e-s et de mettre en œuvre et de respecter tous les dispositifs adéquats pour parvenir à une proportion minimum de 40% de personnes de chaque sexe dans l’ensemble de ses instances.

 

Extraits de la Motion d’orientation du congrès de Bordeaux:« (…) Les valeurs de Sup’Recherche sont clairement affichées et sont d’ailleurs inscrites dans notre histoire : humanisme, transparence, démocratie, respect de la personne, égalité femmes-hommes, solidarité entre les générations et lutte contre toutes les formes de discrimination. Sup’Recherche agit pour plus de transparence, de démocratie, de solidarité et de respect des personnes (…)Nous agissons (…)pour que les femmes aient les mêmes chances d’évolution professionnelle, pour qu’aucun collègue ne soit pénalisé lors de sa retraite du fait d’une entrée tardive dans la carrière d’enseignant-chercheur ou de chercheur.

Pour une égalité réelle entre les Femmes et les Hommes dans l’ESR
Selon les sources du MESR, « les hommes constituent la majorité des enseignant-e-s et/ou chercheur-e-s (64,1% à l’université et dans les EPST), plus encore parmi les professeur-es ou directeurs-trices de recherche (76,1%), […] les disciplines les plus prestigieuses restent les plus masculinisées » .
Face à cette situation, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a développé un plan d’actions. Si la plupart de ces actions sont louables, elles ne sont pas encore suffisantes pour parvenir à une égalité réelle des chances, en particulier pour ce qui concerne les phénomènes de plafond de verre dans la progression de carrière.
Sup’Recherche appuie l’ensemble des mesures qui visent à réduire les inégalités entre les femmes et les hommes dans l’enseignement supérieur et la recherche et s’impliquera dans tous les groupes de travail qui pourront être lancés sur cette question afin de parvenir dans les meilleurs délais à une égalité réelle.
Sup’Recherche soutient, entre autres, l’obligation de tout mettre en œuvre pour parvenir à une proportion minimum de 40% de personnes de chaque sexe dans l’ensemble des instances. »
Sup’Recherche s’engage à mettre en œuvre et à respecter tous les dispositifs adéquats au sein de ses propres instances. »