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Une grève mondiale pour la planète est prévue le 19 mars de cette année. En France, plusieurs rassemblements doivent avoir lieu et mobilisent les plus jeunes. Au même moment, l’’Assemblée vient d’adopter l’inscription de la défense de l’environnement de la constitution. Mais dans ce contexte de crise sanitaire qui dure depuis plus d’un an, comment réussir à faire du climat une cause qui ne passe pas au second plan ?
Grève mondiale pour le climat et mobilisation des plus jeunes
Les grèves pour le climat sont lancées depuis 2018 à l’initiative de la jeune Suédoise Greta Thunberg. Après une mobilisation avortée en 2020 pour cause de covid, cette année devrait renouer avec des manifestations réelles ou virtuelles partout dans le monde. Le but est d’agir sur les dirigeantes et dirigeants politiques afin de les inciter à agir pour la protection de l’environnement et d’apporter des mesures concrètes et exigeantes pour limiter le réchauffement climatique. Ce sont en effet les plus jeunes générations qui seront les plus impactées par les conséquences dramatiques de la pollution et des dérèglements du climat. On assiste donc à de nouvelles formes de mobilisation : en France, c’est le mouvement de jeunes « Youth for Climate » qui est à l’initiative de cette grève pour la justice climatique et la protection de la biodiversité et de l’environnement.
La loi pour agir sur le climat
Les pouvoirs publics, les médias et la société civile dans son ensemble sont de plus en plus sensibilisés à ces enjeux cruciaux pour notre avenir. Ainsi, l’Assemblée nationale a adopté à une très large majorité l’inscription de la défense de l’environnement dans la constitution : ainsi le projet de refonte de l’article 1er de notre loi fondamentale indique que la France « garantit la préservation de l’environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique ». Cet acte fort et symbolique, qui doit encore être validé par le Sénat, doit s’accompagner d’un référendum. Par ailleurs, le projet de loi « Climat et résilience » est actuellement en discussion (voir notre article « Projet de loi climat : des mesures pour réussir la transition écologique ?»). Plus largement, des actions sont également menées à l’échelle de l’Union européenne afin de limiter les émissions de gaz à effet de serre et de limiter l’utilisation des énergies carbonées.
Une prise de conscience ralentie par la crise sanitaire ?
En dépit de ces signes positifs, il faut constater que la crise sanitaire qui s’éternise a fragilisé la prise de conscience du plus grand nombre en faveur de l’action pour le climat et pour la transition écologique. On a pu le voir, lors des commémorations pour les 10 ans de la catastrophe de Fukushima : la réhabilitation du nucléaire comme une énergie plus propre que d’autres a émergé de certains débats, alors que ce grave accident nucléaire en avait montré la dangerosité. Plus près de nous, dans notre vie quotidienne, on semble assister à un retour en force de l’usage du plastique domestique, avec le développement des plats à emporter, des livraisons à domicile et bien encore des masques de protection. Il n’est pas facile de garder en tête l’impératif climatique alors que la crise du covid semble l’urgence première et suscite bien des inquiétudes.
Comment dès lors agir pour le climat et se mobiliser pour réussir la transition écologique ? Pour apporter des éléments de réponse, nous avons interrogé Corinne Le Quéré, climatologue et présidente du Haut Conseil pour le climat.
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