Perturbateurs endocriniens : agir urgemment!

Dans les couches, les cosmétiques, les aliments ou les détergents, les perturbateurs endocriniens et les nanoparticules s’immiscent partout !

Les études se multiplient sur ce sujet. Elles démontrent toutes la présence de ces substances nocives dans nos organismes.

Nous pouvons citer la dernière en date, celle très inquiétante de 60 millions de consommateurs.

L’association a analysé les cheveux de 43 enfants et adolescents de 10 à 15 ans, habitants aussi bien en ville qu’à la campagne.

Au final, se sont 34 molécules polluantes en moyenne qui ont été retrouvées par enfant.

Au total, 254 substances « répertoriées comme des perturbateurs endocriniens potentiels ou avérés » étaient recherchées.

Parmi elles, des phtalates, des pesticides, des bisphénols, des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP, issus des combustions automobiles et de chauffage), des métaux lourds, des PCB (utilisés comme isolants électriques…)

Certains, comme les PCB ou le bisphénol A, sont interdits en France, mais ont tout de même été retrouvés dans les échantillons, preuve de la persistance de ces molécules? D’une utilisation illégale?

Les effets dévastateurs de ces substances sont multiplesdérèglement hormonal, cancer, problèmes de reproduction, de croissance, de diabète, ou encore de sommeil.

À ce jour, l’Europe n’est toujours pas dotée d’une réglementation des perturbateurs endocriniens. En effet, faute de majorité la Commission européenne a renoncé en février 2017, et ce pour la troisième fois, à présenter au vote ses critères d’identification.


L’UNSA Éducation relaie la proposition de France nature environnement d’afficher la présence de nanoparticules et de perturbateurs endocriniens.


« Un affichage clair est nécessaire pour sensibiliser les consommateurs, et à terme inciter l’industrie à se passer de ces molécules. Il est temps d’agir afin de prévenir les risques et limiter l’exposition, en particulier celle des populations sensibles, femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants. »

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Dans les couches, les cosmétiques, les aliments ou les détergents, les perturbateurs endocriniens et les nanoparticules s’immiscent partout !

Les études se multiplient sur ce sujet. Elles démontrent toutes la présence de ces substances nocives dans nos organismes.

Nous pouvons citer la dernière en date, celle très inquiétante de 60 millions de consommateurs.

L’association a analysé les cheveux de 43 enfants et adolescents de 10 à 15 ans, habitants aussi bien en ville qu’à la campagne.

Au final, se sont 34 molécules polluantes en moyenne qui ont été retrouvées par enfant.

Au total, 254 substances « répertoriées comme des perturbateurs endocriniens potentiels ou avérés » étaient recherchées.

Parmi elles, des phtalates, des pesticides, des bisphénols, des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP, issus des combustions automobiles et de chauffage), des métaux lourds, des PCB (utilisés comme isolants électriques…)

Certains, comme les PCB ou le bisphénol A, sont interdits en France, mais ont tout de même été retrouvés dans les échantillons, preuve de la persistance de ces molécules? D’une utilisation illégale?

Les effets dévastateurs de ces substances sont multiplesdérèglement hormonal, cancer, problèmes de reproduction, de croissance, de diabète, ou encore de sommeil.

À ce jour, l’Europe n’est toujours pas dotée d’une réglementation des perturbateurs endocriniens. En effet, faute de majorité la Commission européenne a renoncé en février 2017, et ce pour la troisième fois, à présenter au vote ses critères d’identification.


L’UNSA Éducation relaie la proposition de France nature environnement d’afficher la présence de nanoparticules et de perturbateurs endocriniens.


« Un affichage clair est nécessaire pour sensibiliser les consommateurs, et à terme inciter l’industrie à se passer de ces molécules. Il est temps d’agir afin de prévenir les risques et limiter l’exposition, en particulier celle des populations sensibles, femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants. »