Martinique : « les syndicats vent debout contre le rectorat »

Les 90 suppressions de postes annoncées dans le second degré pour la rentrée prochaine, mettent l’ensemble des syndicats enseignants sous pression.

L’affaire est suffisamment grave pour que les syndicats enseignants parviennent à s’unir et parler d’une seule voix. Après avoir boycotté jeudi matin le comité technique académique (CTA), la FSU, l’UNSA, le Snetaa-FO et le SMPE-GCTM se sont réunis en intersyndicale et ont tenu ensemble vendredi matin une conférence de presse.

À l’ordre du jour, les 90 suppressions de postes annoncées dans le second degré pour la rentrée prochaine. 16 en lycée, 19 en collège, 51 en lycée professionnel, et 4 en section d’enseignement général et professionnel adapté (Segpa). Marlène Lecefel, secrétaire générale du SE-Unsa, ne comprend pas une telle carte scolaire à l’heure où l’on parle de refondation de l’École. Jocelyn Présent, leader du Snetaa-FO, note que le premier degré reste préservé, grâce à la mise en place du dispositif « plus de maîtres que de classes » et du plan mathématiques.

« DES INCOMPÉTENCES AU PLUS HAUT NIVEAU »

Pour le syndicaliste, des mesures similaires auraient dû être prises en faveur du second degré. Mireille Jacques, secrétaire générale de la fédération UNSA Éducation, dénonce des incompétences au plus haut niveau. (…)

Lire l’article sur le site de France-Antilles.

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L’affaire est suffisamment grave pour que les syndicats enseignants parviennent à s’unir et parler d’une seule voix. Après avoir boycotté jeudi matin le comité technique académique (CTA), la FSU, l’UNSA, le Snetaa-FO et le SMPE-GCTM se sont réunis en intersyndicale et ont tenu ensemble vendredi matin une conférence de presse.

À l’ordre du jour, les 90 suppressions de postes annoncées dans le second degré pour la rentrée prochaine. 16 en lycée, 19 en collège, 51 en lycée professionnel, et 4 en section d’enseignement général et professionnel adapté (Segpa). Marlène Lecefel, secrétaire générale du SE-Unsa, ne comprend pas une telle carte scolaire à l’heure où l’on parle de refondation de l’École. Jocelyn Présent, leader du Snetaa-FO, note que le premier degré reste préservé, grâce à la mise en place du dispositif « plus de maîtres que de classes » et du plan mathématiques.

« DES INCOMPÉTENCES AU PLUS HAUT NIVEAU »

Pour le syndicaliste, des mesures similaires auraient dû être prises en faveur du second degré. Mireille Jacques, secrétaire générale de la fédération UNSA Éducation, dénonce des incompétences au plus haut niveau. (…)

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