Lutter contre les violences faites aux femmes dans le monde passe par l’éducation de tous.

Le respect des droits des femmes est une priorité pour l’Unsa Éducation. Or, partout dans le monde, les femmes subissent discriminations et violences.

Le Conseil des droits de l’homme des nations unies s’est réuni le 13 juin 2017 pour en débattre.

Une femme sur trois est victime de violences dans le monde.

Le constat est sans appel : la violence sexiste est la violation des droits de l’homme la plus fréquente sur la planète.

Agir vite et fort face à une situation qui s’aggrave.

Les discussions ont mis en évidence la nécessité d’agir urgemment et d’intensifier les efforts face à une situation qui se dégrade.

Les guerres, de plus en plus nombreuses, touchent très souvent les populations civiles et les changements climatiques créent une plus grande insécurité, ce qui a tendance à renforcer les violences faites aux femmes.

Un levier essentiel : l’éducation

Un des leviers prioritaires est d’associer les hommes et les garçons dans la prévention et la lutte contre les violences à l’égard des femmes. Mais cela ne peut passer que par la déconstruction d’un ensemble de stéréotypes, de comportements patriarcaux, de normes sociales négatives qui perdurent. La redéfinition des notions de masculinité et de féminité afin de valoriser l’égalité femme/homme doit aussi être engagée.

De nombreux obstacles sont à surmonter.

Un meilleur accès des femmes et des filles à l’éducation, aux soins de santé et à un travail décent est primordial pour l’autonomie des femmes.
L’un des objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030 est d’ailleurs de parvenir à l’égalité des sexes afin de lutter contre la pauvreté dans le monde.

Mais cela ne sera possible qu’avec un engagement politique et économique fort des États, des ONG et de l’ensemble de la société civile, seul gage d’un nécessaire changement à l’échelle mondiale.
 

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Le Conseil des droits de l’homme des nations unies s’est réuni le 13 juin 2017 pour en débattre.

Une femme sur trois est victime de violences dans le monde.

Le constat est sans appel : la violence sexiste est la violation des droits de l’homme la plus fréquente sur la planète.

Agir vite et fort face à une situation qui s’aggrave.

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Les guerres, de plus en plus nombreuses, touchent très souvent les populations civiles et les changements climatiques créent une plus grande insécurité, ce qui a tendance à renforcer les violences faites aux femmes.

Un levier essentiel : l’éducation

Un des leviers prioritaires est d’associer les hommes et les garçons dans la prévention et la lutte contre les violences à l’égard des femmes. Mais cela ne peut passer que par la déconstruction d’un ensemble de stéréotypes, de comportements patriarcaux, de normes sociales négatives qui perdurent. La redéfinition des notions de masculinité et de féminité afin de valoriser l’égalité femme/homme doit aussi être engagée.

De nombreux obstacles sont à surmonter.

Un meilleur accès des femmes et des filles à l’éducation, aux soins de santé et à un travail décent est primordial pour l’autonomie des femmes.
L’un des objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030 est d’ailleurs de parvenir à l’égalité des sexes afin de lutter contre la pauvreté dans le monde.

Mais cela ne sera possible qu’avec un engagement politique et économique fort des États, des ONG et de l’ensemble de la société civile, seul gage d’un nécessaire changement à l’échelle mondiale.