L’UNSA, l’atout décisif

Le 4 décembre, les cartes du paysage syndical français seront rebattues dans la Fonction publique. Pour la première fois, plus de 5 millions d’agents publics voteront simultanément dans les trois versants de la Fonction publique (État,Territorial, Hospitalier). À l’issue de ces scrutins, nous aurons la photographie de la représentativité des organisations syndicales dans le secteur public. Nous saurons lesquelles auront la capacité à défendre les personnels dans toutes les instances et quel sera leur poids respectif pour le faire. Seules celles ayant réuni un nombre de voix suffisant dans l’ensemble des élections en Comités techniques ministériels pour l’État et dans les comités locaux pour l’Hospitalière et la Territoriale auront des élus dans le Conseil commun et les Conseils supérieurs de la Fonction publique. Cela écartera donc de la représentativité globale un grand nombre d’organisations ayant fait le choix de l’isolement catégoriel ou sectoriel.

Pour l’UNSA, l’enjeu est simple, améliorer encore sa présence dans l’ensemble de ces instances pour donner plus de force au syndicalisme d’efficacité et de valeurs que nous portons :
• plus de force pour défendre les personnels dans leurs conditions de travail, leur carrière et leur rémunération ;
• plus de force pour défendre notre modèle social et notre projet d’une société éducative et solidaire ;
• plus de force pour représenter toutes celles et tous ceux qui ont le Service public au coeur.

Nos collègues sont fiers d’être quotidiennement au service du public et veulent rendre concret l’idéal républicain ; ils doivent être reconnus, écoutés, soutenus et respectés. C’est ce que porteront les représentantes et les représentants de l’UNSA. Par son réformisme combatif, l’UNSA tourne le dos aux syndicalismes de postures, du tout ou rien, du repli, du renoncement ou de la plainte permanente qui est, au final, un syndicalisme de l’impasse. L’UNSA cherche à ouvrir des voies et à bâtir un syndicalisme de l’utilité et de l’efficacité.

À nous, adhérents des syndicats de l’UNSA Éducation, de faire que des dizaines de milliers de collègues sur notre secteur fassent, comme nous, le choix d’un combat positif. À nous de montrer à tous les agents publics quenous connaissons que, pour eux, l’UNSA est l’atout décisif.

Laurent Escure
Secrétaire général de l’UNSA Éducation

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Le 4 décembre, les cartes du paysage syndical français seront rebattues dans la Fonction publique. Pour la première fois, plus de 5 millions d’agents publics voteront simultanément dans les trois versants de la Fonction publique (État,Territorial, Hospitalier). À l’issue de ces scrutins, nous aurons la photographie de la représentativité des organisations syndicales dans le secteur public. Nous saurons lesquelles auront la capacité à défendre les personnels dans toutes les instances et quel sera leur poids respectif pour le faire. Seules celles ayant réuni un nombre de voix suffisant dans l’ensemble des élections en Comités techniques ministériels pour l’État et dans les comités locaux pour l’Hospitalière et la Territoriale auront des élus dans le Conseil commun et les Conseils supérieurs de la Fonction publique. Cela écartera donc de la représentativité globale un grand nombre d’organisations ayant fait le choix de l’isolement catégoriel ou sectoriel.

Pour l’UNSA, l’enjeu est simple, améliorer encore sa présence dans l’ensemble de ces instances pour donner plus de force au syndicalisme d’efficacité et de valeurs que nous portons :
• plus de force pour défendre les personnels dans leurs conditions de travail, leur carrière et leur rémunération ;
• plus de force pour défendre notre modèle social et notre projet d’une société éducative et solidaire ;
• plus de force pour représenter toutes celles et tous ceux qui ont le Service public au coeur.

Nos collègues sont fiers d’être quotidiennement au service du public et veulent rendre concret l’idéal républicain ; ils doivent être reconnus, écoutés, soutenus et respectés. C’est ce que porteront les représentantes et les représentants de l’UNSA. Par son réformisme combatif, l’UNSA tourne le dos aux syndicalismes de postures, du tout ou rien, du repli, du renoncement ou de la plainte permanente qui est, au final, un syndicalisme de l’impasse. L’UNSA cherche à ouvrir des voies et à bâtir un syndicalisme de l’utilité et de l’efficacité.

À nous, adhérents des syndicats de l’UNSA Éducation, de faire que des dizaines de milliers de collègues sur notre secteur fassent, comme nous, le choix d’un combat positif. À nous de montrer à tous les agents publics quenous connaissons que, pour eux, l’UNSA est l’atout décisif.

Laurent Escure
Secrétaire général de l’UNSA Éducation