L’UNSA Éducation reçue par Geneviève Fioraso

Une délégation de l'UNSA Éducation conduite par Laurent Escure, secrétaire général, a été reçue par Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. La délégation fédérale a insisté sur l'urgence d'un agenda social.

Une délégation de l’UNSA Éducation conduite par Laurent Escure, secrétaire général, a été reçue par Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. La délégation fédérale a insisté sur l’urgence d’un agenda social.


La délégation fédérale (de gauche à droite) :
Laurent Diez (SNPTES), Laurent Escure (UNSA Éducation),
Christine Roland-Lévy (Sup’Recherche), Jean-Yves Rocca (A et I).
Était également présent Luc Bentz (secrétaire national de l’UNSA Éducation).

La délégation de l’UNSA Éducation a été reçue par Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR), qu’assistaient des membres de son cabinet.

Dans un échange franc et direct, l’UNSA Éducation a fait part de ses analyses sur la loi du 22 juillet 2013 et évoqué un certain nombre de dossiers en cours (dont les projets de textes concernant le statut des enseignants-chercheurs). Sur les questions budgétaires, l’UNSA Éducation a abordé notamment la question du crédit-impôt-recherche et les difficultés ressenties sur le terrain où des dotations d’emplois par le ministère ne se retrouvent pas en raison des gel d’emplois décidées localement.

Surtout, la délégation fédérale a insisté sur l’urgence de définir rapidement l’«agenda social» du MESR et de commencer à travailler sur les différents dossiers.

L’UNSA Éducation et ses syndicats nationaux universitaires (A&I-UNSA, SNPTES-UNSA, SUP’Recherche-UNSA) attendent donc du ministère, auquel nos priorités ont été transmises, des propositions dans un délai rapproché pour que le dialogue social, auquel la ministre a réaffirmé son attachement, devienne une réalité et se situe bien dans le cadre de la Fonction publique de carrière statutaire dont relèvent l’Université et les organismes de recherche.

 

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La délégation fédérale (de gauche à droite) :
Laurent Diez (SNPTES), Laurent Escure (UNSA Éducation),
Christine Roland-Lévy (Sup’Recherche), Jean-Yves Rocca (A et I).
Était également présent Luc Bentz (secrétaire national de l’UNSA Éducation).

La délégation de l’UNSA Éducation a été reçue par Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR), qu’assistaient des membres de son cabinet.

Dans un échange franc et direct, l’UNSA Éducation a fait part de ses analyses sur la loi du 22 juillet 2013 et évoqué un certain nombre de dossiers en cours (dont les projets de textes concernant le statut des enseignants-chercheurs). Sur les questions budgétaires, l’UNSA Éducation a abordé notamment la question du crédit-impôt-recherche et les difficultés ressenties sur le terrain où des dotations d’emplois par le ministère ne se retrouvent pas en raison des gel d’emplois décidées localement.

Surtout, la délégation fédérale a insisté sur l’urgence de définir rapidement l’«agenda social» du MESR et de commencer à travailler sur les différents dossiers.

L’UNSA Éducation et ses syndicats nationaux universitaires (A&I-UNSA, SNPTES-UNSA, SUP’Recherche-UNSA) attendent donc du ministère, auquel nos priorités ont été transmises, des propositions dans un délai rapproché pour que le dialogue social, auquel la ministre a réaffirmé son attachement, devienne une réalité et se situe bien dans le cadre de la Fonction publique de carrière statutaire dont relèvent l’Université et les organismes de recherche.