L’UNSA Éducation reçue au Secrétariat aux droits des femmes

Pour l’UNSA Éducation, l’égalité femmes hommes est une priorité. C’est ce que nous avons réaffirmé dernièrement au Secrétariat aux droits des femmes. La défense de l’égalité filles-garçons, femmes-hommes dans tous les domaines et en particulier dans la mise en œuvre de la lutte contre les stéréotypes de genre dès le plus jeune âge n’est pas négociable.

Pour l’UNSA Éducation, l’égalité femmes hommes est une priorité. C’est ce que nous avons réaffirmé dernièrement au Secrétariat aux droits des femmes.

La défense de l’égalité filles-garçons, femmes-hommes dans tous les domaines et en particulier dans la mise en œuvre de la lutte contre les stéréotypes de genre dès le plus jeune âge n’est pas négociable.

Nous l’avons redit lors de la rencontre que nous avons eue avec Cloé Korman, conseillère chargée de l’Éducation, de la Culture et des Stéréotypes auprès de la Secrétaire d’Etat aux droits des femmes Pascale Boistard. Nous sommes revenus à ce sujet sur les ABCD de l’égalité dont nous avions déploré l’abandon et sur la mise en œuvre du « Plan d’action pour l’égalité entre les filles et les garçons à l’école », et les interactions entre le MENESR et le ministère de la Santé dont dépend désormais le secrétariat d’Etat aux droits des femmes. Malgré des réponses qui se veulent rassurantes et entendent montrer la volonté du gouvernement, nous continuons à nous interroger sur un Plan qui, en s’étendant au second degré, ce qui ne peut que nous réjouir, semble s’installer lentement et avoir perdu de sa force. Formation des cadres dans un premier temps, puis mise en œuvre dans les programmes par le Conseil Supérieur des Programmes après la consultation…On évoque la rentrée…2016 et même si « des modules sont déjà disponibles sur le site de l’Éducation nationale », nos inquiétudes quant à un plan peu contraignant et plutôt laissé au bon vouloir de quelques-uns demeurent.


Nous avons redit également l’importance que nous accordions à la formation tant initiale et continue aux stéréotypes de genre, qui ne doit pas concerner seulement les enseignants mais l’ensemble de la communauté éducative.
Enfin nous avons échangé, entre autres, sur les chantiers en cours tels que : l’attention particulière à porter aux manuels scolaires et aux visions qu’ils renvoient des rôles des femmes et des hommes dans la société, la nécessaire promotion des filières scientifiques pour les filles, la promotion de la mixité professionnelle, la nécessité d’un travail sur les média avec le CSA qui doit être plus attentif à l’image des femmes renvoyée sur les écrans. La Secrétaire d’État aux droits des femmes entend aussi agir, conjointement avec Geneviève Fioraso sur les actes de bizutage souvent humiliants et dégradants.


Des échanges que nous ne manquerons pas de renouveler afin de continuer à porter nos revendications sur le suivi des dossiers en cours et à exiger que l’égalité reste une priorité du gouvernement.

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Pour l’UNSA Éducation, l’égalité femmes hommes est une priorité. C’est ce que nous avons réaffirmé dernièrement au Secrétariat aux droits des femmes.

La défense de l’égalité filles-garçons, femmes-hommes dans tous les domaines et en particulier dans la mise en œuvre de la lutte contre les stéréotypes de genre dès le plus jeune âge n’est pas négociable.

Nous l’avons redit lors de la rencontre que nous avons eue avec Cloé Korman, conseillère chargée de l’Éducation, de la Culture et des Stéréotypes auprès de la Secrétaire d’Etat aux droits des femmes Pascale Boistard. Nous sommes revenus à ce sujet sur les ABCD de l’égalité dont nous avions déploré l’abandon et sur la mise en œuvre du « Plan d’action pour l’égalité entre les filles et les garçons à l’école », et les interactions entre le MENESR et le ministère de la Santé dont dépend désormais le secrétariat d’Etat aux droits des femmes. Malgré des réponses qui se veulent rassurantes et entendent montrer la volonté du gouvernement, nous continuons à nous interroger sur un Plan qui, en s’étendant au second degré, ce qui ne peut que nous réjouir, semble s’installer lentement et avoir perdu de sa force. Formation des cadres dans un premier temps, puis mise en œuvre dans les programmes par le Conseil Supérieur des Programmes après la consultation…On évoque la rentrée…2016 et même si « des modules sont déjà disponibles sur le site de l’Éducation nationale », nos inquiétudes quant à un plan peu contraignant et plutôt laissé au bon vouloir de quelques-uns demeurent.


Nous avons redit également l’importance que nous accordions à la formation tant initiale et continue aux stéréotypes de genre, qui ne doit pas concerner seulement les enseignants mais l’ensemble de la communauté éducative.
Enfin nous avons échangé, entre autres, sur les chantiers en cours tels que : l’attention particulière à porter aux manuels scolaires et aux visions qu’ils renvoient des rôles des femmes et des hommes dans la société, la nécessaire promotion des filières scientifiques pour les filles, la promotion de la mixité professionnelle, la nécessité d’un travail sur les média avec le CSA qui doit être plus attentif à l’image des femmes renvoyée sur les écrans. La Secrétaire d’État aux droits des femmes entend aussi agir, conjointement avec Geneviève Fioraso sur les actes de bizutage souvent humiliants et dégradants.


Des échanges que nous ne manquerons pas de renouveler afin de continuer à porter nos revendications sur le suivi des dossiers en cours et à exiger que l’égalité reste une priorité du gouvernement.