L’UNSA «agit pour du concret»: 60 000 contractuels «sécurisés»!

Le combat positif, c'est ça! Chiffres à l’appui, la signature par l’UNSA de l’accord du 31 mars 2011 sur la sécurisation des parcours professionnels a permis, dans l'ensemble de la Fonction publique, la sécurisation de près de 60000 contractuels (59072 exactement).

Le combat positif, c’est ça! Chiffres à l’appui, la signature par l’UNSA de l’accord du 31 mars 2011 sur la sécurisation des parcours professionnels a permis, dans l’ensemble de la Fonction publique, la sécurisation de près de 60000 contractuels (59072 exactement). 25133 collègues contractuels ont été titularisés grâce aux recrutements réservés; 33939 ont obtenu la transformation de leur contrat en CDI (contrat à durée déterminée en CDI).


Voir aussi:
Je ne suis pas titulaire, l’UNSA s’occupe de moi.


La dernière réunion du comité de suivi¹ de la mise en œuvre de la loi dite «Sauvadet» du 12 mars 2012 a permis de dresser un premier bilan chiffré. Ce bilan estime à 125 000 le nombre de collègues contractuels éligibles aux deux principales mesures de «déprécarisation» issues de la loi : les concours et examens professionnels réservés et la «CDIsation».

Si nous mesurons le chemin à parcourir pour l’ensemble des contractuels (au-delà même des «éligibles aux dispositifs Sauvadet»), comment ne pas se réjouir de constater — parce que des organisations syndicales, dont l’UNSA, en ont assumé la responsabilité — que l’emploi de 60 000 personnes non-titulaires est «sécurisé» dans la Fonction publique?

  • Les concours et examens professionnels réservés

Dans la Fonction publique de l’État, tous ministères confondus, 16 820 postes ont été ouverts via les concours et examens réservés, 11 548 postes l’ont été au MENESR (ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche).

Au 30 juin 2014, 6 439 collègues sont devenus titulaires de la Fonction publique de l’État, ces chiffres n’incluent pas encore les recrutements intervenus depuis notamment au ministère de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

  • L’accès au CDI

Sur les 6139 agents contractuels qui ont vu leur CDD transformé en CDI dans la Fonction publique de l’État, 5130 exercent au MENESR.

Au final, dans la Fonction publique, ce sont près de 60 000 agents qui ont vu leur situation professionnelle « sécurisée » à la suite de l’accord du 31 mars 2011.

L’UNSA, au travers sa signature, a engrangé d’indéniables avancées pour les collègues contractuels. Elle continuera à défendre sans relâche les droits des agents contractuels avec l’objectif d’obtenir de nouvelles garanties.

Nous savons en effet que toutes les situations sont loin d’être réglées et que certains secteurs comme les universités et organismes de recherche constituent encore des «poches de précarité» à résorber. Mais ou bien on considère qu’il faut dire «Non» tant que tout n’est pas réglé au mieux tout de suite pour tout le monde (autrement dit: dire «non» tout le temps), ou bien on considère — comme l’UNSA a su le faire — qu’il faut saisir toutes les occasions de faire avancer les choses.

Pour près de 60 000 contractuels de la Fonction publique, l’angoisse du lendemain de la fin de contrat a disparu. Nous n’oublions pas les autres, mais pour eux, «c’est fait!»

Voilà ce qu’est la démarche syndicale portée par l’UNSA: celle du combat positif mené jour après jour, dossier après dossier, étape après étape. Voilà comment, à l’UNSA, nous déclinons la formule: «Agir pour obtenir du concret».

Agir pour du concret, avec l’UNSA,
c’est — définitivement —
sécuriser l’emploi de 60 000 personnes
dans la Fonction publique !


¹ Le comité de suivi regroupe, en face de l’Administration, les organisations syndicales signataires du protocole d’accord du 31 mars 2011 «portant sécurisation des parcours professionnels des agents contractuels dans les trois versants de la Fonction publique — Accès à l’emploi titulaire et amélioration des conditions d’emploi». Les organisations syndicales de la Fonction publique signataires — engagées depuis dans une série de négociations pour l’amélioration de la situation des personnels contractuels — sont l’UNSA, la CGT, la CFDT, FO, la CFTC et la CGC.

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Je ne suis pas titulaire, l’UNSA s’occupe de moi.


La dernière réunion du comité de suivi¹ de la mise en œuvre de la loi dite «Sauvadet» du 12 mars 2012 a permis de dresser un premier bilan chiffré. Ce bilan estime à 125 000 le nombre de collègues contractuels éligibles aux deux principales mesures de «déprécarisation» issues de la loi : les concours et examens professionnels réservés et la «CDIsation».

Si nous mesurons le chemin à parcourir pour l’ensemble des contractuels (au-delà même des «éligibles aux dispositifs Sauvadet»), comment ne pas se réjouir de constater — parce que des organisations syndicales, dont l’UNSA, en ont assumé la responsabilité — que l’emploi de 60 000 personnes non-titulaires est «sécurisé» dans la Fonction publique?

Dans la Fonction publique de l’État, tous ministères confondus, 16 820 postes ont été ouverts via les concours et examens réservés, 11 548 postes l’ont été au MENESR (ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche).

Au 30 juin 2014, 6 439 collègues sont devenus titulaires de la Fonction publique de l’État, ces chiffres n’incluent pas encore les recrutements intervenus depuis notamment au ministère de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Sur les 6139 agents contractuels qui ont vu leur CDD transformé en CDI dans la Fonction publique de l’État, 5130 exercent au MENESR.

Au final, dans la Fonction publique, ce sont près de 60 000 agents qui ont vu leur situation professionnelle « sécurisée » à la suite de l’accord du 31 mars 2011.

L’UNSA, au travers sa signature, a engrangé d’indéniables avancées pour les collègues contractuels. Elle continuera à défendre sans relâche les droits des agents contractuels avec l’objectif d’obtenir de nouvelles garanties.

Nous savons en effet que toutes les situations sont loin d’être réglées et que certains secteurs comme les universités et organismes de recherche constituent encore des «poches de précarité» à résorber. Mais ou bien on considère qu’il faut dire «Non» tant que tout n’est pas réglé au mieux tout de suite pour tout le monde (autrement dit: dire «non» tout le temps), ou bien on considère — comme l’UNSA a su le faire — qu’il faut saisir toutes les occasions de faire avancer les choses.

Pour près de 60 000 contractuels de la Fonction publique, l’angoisse du lendemain de la fin de contrat a disparu. Nous n’oublions pas les autres, mais pour eux, «c’est fait!»

Voilà ce qu’est la démarche syndicale portée par l’UNSA: celle du combat positif mené jour après jour, dossier après dossier, étape après étape. Voilà comment, à l’UNSA, nous déclinons la formule: «Agir pour obtenir du concret».

Agir pour du concret, avec l’UNSA,
c’est — définitivement —
sécuriser l’emploi de 60 000 personnes
dans la Fonction publique !


¹ Le comité de suivi regroupe, en face de l’Administration, les organisations syndicales signataires du protocole d’accord du 31 mars 2011 «portant sécurisation des parcours professionnels des agents contractuels dans les trois versants de la Fonction publique — Accès à l’emploi titulaire et amélioration des conditions d’emploi». Les organisations syndicales de la Fonction publique signataires — engagées depuis dans une série de négociations pour l’amélioration de la situation des personnels contractuels — sont l’UNSA, la CGT, la CFDT, FO, la CFTC et la CGC.