L’éducation publique est délibérément attaquée concluent les délégations internationales invitées au 16ème congrès de la FETE UGT

16ème congrès de la FETE-UGT, conclusions du séminaire international (Madrid, 24/26 Mai 2013)

La FETE-UGT pose « l’Éducation Publique de Qualité » au centre des débats du séminaire international (Madrid, 24 au 26 mai 2013)

Les syndicats de l’enseignement invités –dont l’UNSA Éducation– parviennent aux mêmes constats et concluent sur le fait que, peu importe le pays ou le continent, les politiques actuellement menées ciblent l’école publique et les professionnels de l’éducation.

Ces politiques d’austérités visent à marchandiser l’école publique  et, defacto, à la privatiser. Les personnels d’éducation sont dénigrés par les responsables politiques de leurs pays respectifs et nombre de disciplines contribuant à la construction d’une citoyenneté libre et démocratique se réduitent à « peau de chagrin ».

Tous, constatent que ces politiques d’austérité conduisent aux mêmes résultats ! Elles privent les plus démunis économiquement d’accéder à l’éducation, pourtant reconnue comme un droit humain. De surcroît, en rejetant les possibilités d’une Éducation Publique de Qualité », ces politiques obèrent l’avenir des générations futures.

Face aux tentatives de certains d’imposer par la loi des critères régressifs, nos hôtes, mais pas seulement, s’inquiètent de ce mouvement qui leur rappelle les périodes les plus noires de l’histoire de leur pays. 

Aussi, L’UNSA Éducation qui, dès septembre 2012, avait exprimé sa solidarité à l’ensemble des organisations syndicales espagnoles attaquées par les décisions du gouvernement Rajoy,  a, lors de ce 16ème congrès, confirmé à la FETE-UGT son attachement et renouvelé son soutien  pour que son combat pour l’école publique soit entendu car l’éducation et l’école publique sont les meilleures barières contre la pauvreté et l’obscurantisme.

 

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La FETE-UGT pose « l’Éducation Publique de Qualité » au centre des débats du séminaire international (Madrid, 24 au 26 mai 2013)

Les syndicats de l’enseignement invités –dont l’UNSA Éducation– parviennent aux mêmes constats et concluent sur le fait que, peu importe le pays ou le continent, les politiques actuellement menées ciblent l’école publique et les professionnels de l’éducation.

Ces politiques d’austérités visent à marchandiser l’école publique  et, defacto, à la privatiser. Les personnels d’éducation sont dénigrés par les responsables politiques de leurs pays respectifs et nombre de disciplines contribuant à la construction d’une citoyenneté libre et démocratique se réduitent à « peau de chagrin ».

Tous, constatent que ces politiques d’austérité conduisent aux mêmes résultats ! Elles privent les plus démunis économiquement d’accéder à l’éducation, pourtant reconnue comme un droit humain. De surcroît, en rejetant les possibilités d’une Éducation Publique de Qualité », ces politiques obèrent l’avenir des générations futures.

Face aux tentatives de certains d’imposer par la loi des critères régressifs, nos hôtes, mais pas seulement, s’inquiètent de ce mouvement qui leur rappelle les périodes les plus noires de l’histoire de leur pays. 

Aussi, L’UNSA Éducation qui, dès septembre 2012, avait exprimé sa solidarité à l’ensemble des organisations syndicales espagnoles attaquées par les décisions du gouvernement Rajoy,  a, lors de ce 16ème congrès, confirmé à la FETE-UGT son attachement et renouvelé son soutien  pour que son combat pour l’école publique soit entendu car l’éducation et l’école publique sont les meilleures barières contre la pauvreté et l’obscurantisme.