Agir avec vous

L’éco-geste UNSA Éducation de la semaine : le plastique, c’est pas fantastique !

À l’occasion de la journée mondiale de l’environnement qui a lieu le 5 juin, une campagne internationale sous l’égide de l’ONU est lancée pour combattre la pollution plastique, qui envahit toute notre planète et fragilise l’ensemble de l’écosystème. Il est temps d’agir et de limiter notre usage du plastique qui fait tant de dégâts sur l’environnement.

Cette campagne internationale s’inscrit dans le cadre des réunions internationales qui ont lieu actuellement pour trouver un accord international visant à limiter l’usage du plastique. Les discussions amorcées lors de cette première session ont été difficiles en particulier en raison des volontés des pays producteurs de pétrole de continuer à produire du plastique. Un premier accord est espéré pour la fin 2023. Voir à ce sujet cette synthèse. 

Il faut dire que dans notre quotidien, le plastique est partout présent encore aujourd’hui, en dépit de certains efforts faits : ainsi au programme de votre petit déjeuner, il y a fort à parier que si vous consommez un yaourt, celui soit contenu dans un pot en plastique qui n’est qu’imparfaitement recyclable. Et cela se retrouve malheureusement dans nombreuses situations de notre quotidien.

C’est pourquoi la campagne lancée aujourd’hui permet de prendre conscience de l’urgence à agir mais aussi des moyens d’actions. Ainsi, cette page de l’ONU «  Notre planète étouffe sous les plastiques » montre clairement les effet d’une telle pollution.

Et vous pouvez également consulter ces guides pratiques pour limiter les pollutions plastiques.

L’UNSA Éducation s’engage sur la voie de la transformation écologique et vers l’éco-responsabilité. Les éco-gestes ne sont qu’un premier pas. Et pour répondre à celles ou ceux qui pourraient considérer que ce n’est pas essentiel, voici une citation de Jean Paulhan qui est parfaitement adaptée à la situation : « Tu peux serrer dans ta main une abeille jusqu’à ce qu’elle étouffe. Elle n’étouffera pas sans t’avoir piqué. C’est peu de chose, dis-tu. Oui, c’est peu de chose. Mais si elle ne te piquait pas, il y a longtemps qu’il n’y aurait plus d’abeilles.»

 

 

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