Le FN sait tirer parti de l’Europe!

Égérie auto proclamée de la sortie de l’Europe, Marine Le Pen et plus généralement les députés FN n’en oublient pas pour autant de profiter du système.

Depuis mars 2015, bien en amont du calendrier électoral, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour des soupçons de la mise en place d’un système d’emplois fictifs au sein du Front National financé sur des fonds européens…


A ce jour (source L’Obs du 31/01/2017) le total réclamé au FN par le parlement européen se monte à 1,1 million € soit 62 années de SMIC brut mensuel…. Rien que ça !

Qu’est-il reproché au Front National ?

Tout simplement d’avoir salarié les collaborateurs de 6 eurodéputés au Parlement Européen (Marine Le Pen, Jean Maris Le Pen, Bruno Gollnisch, Mylène Troszczynski, Spophie Montel, Dominique Bilde) sans à priori qu’ils aient eu une activité réelle à Bruxelles ou à Strasbourg.

En droit on appelle ça : « des emplois fictifs ». Directeur (trice) de cabinet, garde du corps mais aussi majordome (sic) ont été payés sur des fonds européens tout en travaillant au siège du FN à Nanterre ou dans la sphère privée.

Comme à chaque fois, au lieu d’apporter les preuves d’un travail effectif, la seule défense du Front national est de dénoncer un complot médiatico-politico-judiciaire !

Pour l’UNSA-Education ces abus ont des graves conséquences et la première est d’éloigner nos concitoyens de la vie de la cité.

La politique comme les médias, la justice, le syndicalisme se doit d’être exemplaire.

Le FN n’en est pas un bon exemple avec la palme du cynisme.

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Égérie auto proclamée de la sortie de l’Europe, Marine Le Pen et plus généralement les députés FN n’en oublient pas pour autant de profiter du système.

Depuis mars 2015, bien en amont du calendrier électoral, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour des soupçons de la mise en place d’un système d’emplois fictifs au sein du Front National financé sur des fonds européens…


A ce jour (source L’Obs du 31/01/2017) le total réclamé au FN par le parlement européen se monte à 1,1 million € soit 62 années de SMIC brut mensuel…. Rien que ça !

Qu’est-il reproché au Front National ?

Tout simplement d’avoir salarié les collaborateurs de 6 eurodéputés au Parlement Européen (Marine Le Pen, Jean Maris Le Pen, Bruno Gollnisch, Mylène Troszczynski, Spophie Montel, Dominique Bilde) sans à priori qu’ils aient eu une activité réelle à Bruxelles ou à Strasbourg.

En droit on appelle ça : « des emplois fictifs ». Directeur (trice) de cabinet, garde du corps mais aussi majordome (sic) ont été payés sur des fonds européens tout en travaillant au siège du FN à Nanterre ou dans la sphère privée.

Comme à chaque fois, au lieu d’apporter les preuves d’un travail effectif, la seule défense du Front national est de dénoncer un complot médiatico-politico-judiciaire !

Pour l’UNSA-Education ces abus ont des graves conséquences et la première est d’éloigner nos concitoyens de la vie de la cité.

La politique comme les médias, la justice, le syndicalisme se doit d’être exemplaire.

Le FN n’en est pas un bon exemple avec la palme du cynisme.