Le Collectif racine présente son projet pour l’École au FN.

Le 22 septembre 2016 se tenait « la première convention présidentielle de Marine Le Pen ». Le thème retenu était celui du « redressement de l'école et de l'enseignement supérieur ».

Le 22 septembre 2016 se tenait « la première convention présidentielle de Marine Le Pen ». Le thème retenu était celui du « redressement de l’école et de l’enseignement supérieur ». Le monde enseignant et l’éducation sont donc des enjeux pour ce parti en vue des futures élections présidentielles…

A l’occasion de cette « convention », le collectif Racine a diffusé ses propositions  » venues du terrain » et contre les « lubies pédagogistes ».

Rien de nouveau puisque les propositions portent sur la fin du collège unique, le port de l’uniforme et la sélection dès 14 ans !

Un retour à l’école d’antan et à de veilles recettes d’autorité : « le maître sait et n’a pas à être tutoyé par l’élève qui lui doit respect et obéissance pour apprendre grâce à son effort évalué par la notation »….

Le FN demande également la fin de la commission éducative et du conseil pédagogique.

La litanie des mesures continue comme revoir le statut de l’école sur le modèle du collège et du lycée.

Dans le discours du Front national, il n’est plus question du « chèque éducation » que Jean-Marie Le Pen voulait instaurer en 2007.

Mais alors que ce parti veut faire croire qu’il s’occupe des classes populaires, aucune de ses propositions n’aborde le souci de réduire les inégalités !

Aucune ambition pour les élèves, sauf à déclarer que le temps « des folies pédagogistes à trop durer » !

Un discours bien populiste qui pourrait hélas en séduire certains.

Pourtant chacun sait que derrière les petites phrases et les provocations, le fonds de commerce demeure celui de la haine et du racisme.

Pour l’UNSA Éducation, il est indispensable de connaître ses adversaires pour ne pas dire après « je ne savais pas ».

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Le 22 septembre 2016 se tenait « la première convention présidentielle de Marine Le Pen ». Le thème retenu était celui du « redressement de l’école et de l’enseignement supérieur ». Le monde enseignant et l’éducation sont donc des enjeux pour ce parti en vue des futures élections présidentielles…

A l’occasion de cette « convention », le collectif Racine a diffusé ses propositions  » venues du terrain » et contre les « lubies pédagogistes ».

Rien de nouveau puisque les propositions portent sur la fin du collège unique, le port de l’uniforme et la sélection dès 14 ans !

Un retour à l’école d’antan et à de veilles recettes d’autorité : « le maître sait et n’a pas à être tutoyé par l’élève qui lui doit respect et obéissance pour apprendre grâce à son effort évalué par la notation »….

Le FN demande également la fin de la commission éducative et du conseil pédagogique.

La litanie des mesures continue comme revoir le statut de l’école sur le modèle du collège et du lycée.

Dans le discours du Front national, il n’est plus question du « chèque éducation » que Jean-Marie Le Pen voulait instaurer en 2007.

Mais alors que ce parti veut faire croire qu’il s’occupe des classes populaires, aucune de ses propositions n’aborde le souci de réduire les inégalités !

Aucune ambition pour les élèves, sauf à déclarer que le temps « des folies pédagogistes à trop durer » !

Un discours bien populiste qui pourrait hélas en séduire certains.

Pourtant chacun sait que derrière les petites phrases et les provocations, le fonds de commerce demeure celui de la haine et du racisme.

Pour l’UNSA Éducation, il est indispensable de connaître ses adversaires pour ne pas dire après « je ne savais pas ».