La poésie contemporaine est bien vivante!

La revue de poésie contemporaine en ligne Incertain regard nous invite à decouvrir des poèmes d’artistes bien ancrés dans la réalité et nous offrant toujours une fenêtre pour appréhender autrement le monde qui nous entoure. C’est le rôle de la poésie et des artistes…

Dans le dernier numéro, Hervé Martin, dans la préface, nous invite à réfléchir à « Cet autre qui nous ressemble tant », réflexion, aujourd’hui plus encore qu’hier, essentielle! Il ajoute « Au fond, rejeter « l’autre », c’est un peu mépriser la part d’humain en soi. Mais c’est aussi ronger les étais qui soutiennent la société des hommes dans sa marche vers l’avenir et le vivre ensemble. Et pour cet avenir, chacun a le devoir de préserver sa part d’humanité héritée des siens, et de s’en porter garant. »

Les portraits du peintre Émeric Outreman cherchent les expressions au plus près de ces visages que nous offrons à l’autre, notre altérité, notre double… Les oeuvres végétales de Valérie Loiseau rendent éternels ces instants si fragiles et fugaces.

On découvrira les poèmes de Jean-Pierre Lemaire, de Maurice Mourier :

« Dégorge ta toux
Débarrasse ta gorge de ses écailles
De tatou
De pangolin
De vieille peau qui t’encombre crache ! »

de Roselyne Sibille :

« Je ne sais comment ta bouche accueille le vide
ni d’où vient la nuit qui chuchote pour toi


J’aimerais m’approcher de tes secrets »

ou le très beau « Naufragé du poème » de Lydia Padellec :

« Il pactise avec la terre et prend plaisir à faire p leurer les étoiles. Le
poème, parfois, est un sale gamin des rues qui s’am use de la naïveté
de l’aube. Orphelin de mots et de sensations, il vole les images, se
joue du langage. Il déniche le temps derrière tes regrets et le jette en
ricochets dans ta nuit blanche. »

Une revue indispensable en ces temps d’aigreurs et de morosité!

Lire Incertain regard n°8

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La revue de poésie contemporaine en ligne Incertain regard nous invite à decouvrir des poèmes d’artistes bien ancrés dans la réalité et nous offrant toujours une fenêtre pour appréhender autrement le monde qui nous entoure. C’est le rôle de la poésie et des artistes…

Dans le dernier numéro, Hervé Martin, dans la préface, nous invite à réfléchir à « Cet autre qui nous ressemble tant », réflexion, aujourd’hui plus encore qu’hier, essentielle! Il ajoute « Au fond, rejeter « l’autre », c’est un peu mépriser la part d’humain en soi. Mais c’est aussi ronger les étais qui soutiennent la société des hommes dans sa marche vers l’avenir et le vivre ensemble. Et pour cet avenir, chacun a le devoir de préserver sa part d’humanité héritée des siens, et de s’en porter garant. »

Les portraits du peintre Émeric Outreman cherchent les expressions au plus près de ces visages que nous offrons à l’autre, notre altérité, notre double… Les oeuvres végétales de Valérie Loiseau rendent éternels ces instants si fragiles et fugaces.

On découvrira les poèmes de Jean-Pierre Lemaire, de Maurice Mourier :

« Dégorge ta toux
Débarrasse ta gorge de ses écailles
De tatou
De pangolin
De vieille peau qui t’encombre crache ! »

de Roselyne Sibille :

« Je ne sais comment ta bouche accueille le vide
ni d’où vient la nuit qui chuchote pour toi


J’aimerais m’approcher de tes secrets »

ou le très beau « Naufragé du poème » de Lydia Padellec :

« Il pactise avec la terre et prend plaisir à faire p leurer les étoiles. Le
poème, parfois, est un sale gamin des rues qui s’am use de la naïveté
de l’aube. Orphelin de mots et de sensations, il vole les images, se
joue du langage. Il déniche le temps derrière tes regrets et le jette en
ricochets dans ta nuit blanche. »

Une revue indispensable en ces temps d’aigreurs et de morosité!

Lire Incertain regard n°8