La « démocratie lycéenne » anime le CSE

Longuement débattus, les projets de textes modifiant les modalités d’élections des représentants des lycéens  au Conseil d’administration et au Conseil de discipline, ont été l’occasion d’échanges animés, riches et intéressants. 
 

S’ils n’ont pas été soutenus par l’ensemble du CSE,  le manque de démocratie lycéenne et la responsabilité de l’Éducation nationale sur le sujet a eu le mérite d’être unanimement rappelé notamment par les représentants des lycéens.

Un dur constat

Délégués de classe, Fonds de vie lycéenne, Foyers socio-éducatifs, Maison de lycéens,  Conseil de la vie lycéenne (CVL) décliné au niveau académique et national… des dispositifs existent bel et bien pour susciter et faciliter l’engagement des élèves.

S’ils se sont installés au fil de l’évolution de notre système éducatif, le constat aujourd’hui est clair :la démocratie lycéenne peine à être reconnue.
C’est ce que pointe Anne-Lise Dufour-Tonini dans son rapport : « Pour un acte II de la vie lycéenne : vers la démocratie lycéenne ». 

Remis en septembre 2013, ce rapport a inspiré les projets de textes présentés en ce CSE de juin.

Renforcer le poids du CVL mais au delà, le rôle de tous les élus

S’ils visent effectivement à renforcer la parole des élus du CVL et leur influence, l’UNSA Éducation estime qu’il faut tout de même permettre une diversité des élèves au conseil d’administration et surtout ne pas tendre vers une spécialisation des délégués.

C’est en proposant davantage de sièges pour les élus du CVL au conseil d’administration et aux cotés des délégués de classe, en demandant le renforcement de l’accompagnement et de la formation des délégués, en impulsant une meilleure reconnaissance du rôle d’élus par l’ensemble de la communauté éducative, que l’UNSA Éducation continue d’agir afin de renforcer l’apprentissage de la citoyenneté au sein de l’Ecole.

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S’ils n’ont pas été soutenus par l’ensemble du CSE,  le manque de démocratie lycéenne et la responsabilité de l’Éducation nationale sur le sujet a eu le mérite d’être unanimement rappelé notamment par les représentants des lycéens.

Un dur constat

Délégués de classe, Fonds de vie lycéenne, Foyers socio-éducatifs, Maison de lycéens,  Conseil de la vie lycéenne (CVL) décliné au niveau académique et national… des dispositifs existent bel et bien pour susciter et faciliter l’engagement des élèves.

S’ils se sont installés au fil de l’évolution de notre système éducatif, le constat aujourd’hui est clair :la démocratie lycéenne peine à être reconnue.
C’est ce que pointe Anne-Lise Dufour-Tonini dans son rapport : « Pour un acte II de la vie lycéenne : vers la démocratie lycéenne ». 

Remis en septembre 2013, ce rapport a inspiré les projets de textes présentés en ce CSE de juin.

Renforcer le poids du CVL mais au delà, le rôle de tous les élus

S’ils visent effectivement à renforcer la parole des élus du CVL et leur influence, l’UNSA Éducation estime qu’il faut tout de même permettre une diversité des élèves au conseil d’administration et surtout ne pas tendre vers une spécialisation des délégués.

C’est en proposant davantage de sièges pour les élus du CVL au conseil d’administration et aux cotés des délégués de classe, en demandant le renforcement de l’accompagnement et de la formation des délégués, en impulsant une meilleure reconnaissance du rôle d’élus par l’ensemble de la communauté éducative, que l’UNSA Éducation continue d’agir afin de renforcer l’apprentissage de la citoyenneté au sein de l’Ecole.