La démesure du monologue social !

Si le dialogue social se mesure en nombre de réunions comme vient de l’écrire le Premier Ministre, le nombre d’amendements déposés sur le projet de loi de réforme de la Fonction Publique est plutôt révélateur du monologue social instauré par le gouvernement.

Si le dialogue social se mesure en nombre de réunions comme vient de l’écrire le Premier Ministre, le nombre d’amendements déposés sur le projet de loi de réforme de la Fonction Publique est plutôt révélateur du monologue social instauré par le gouvernement.

Un rétro plan­ning qui en dit long…

50 réunions pendant 7 mois de mars à octobre, sans retour, sans appréciation, ni communication de projets de textes sur des thématiques imposées.
Pas de concertation, pas de négociation pendant les 3 mois suivants.
Un projet de loi découvert 15 jours seulement avant la date butoire de dépôt des amendements et qui comprend des annonces jamais évoquées au cours de ces réunions !
Résultat : l’UNSA dépose plus de 100 amen­de­ments.

100 amen­de­ments qui mon­trent clai­re­ment que le gou­ver­ne­ment pra­ti­que le mono­lo­gue social et ne tient pas compte des pro­po­si­tions cons­truc­ti­ves de l’UNSA pour la fonc­tion publi­que et ses agents.

L’UNSA Fonction Publique demande au gou­ver­ne­ment de pren­dre le temps néces­saire pour qu’un véri­ta­ble dia­lo­gue social per­mette un projet de loi utile et non régres­sif.
Les droits des agents publics, qui ont renou­velé récem­ment leur confiance à leurs repré­sen­tants, doi­vent être ren­for­cés et non affai­blis.

Bagnolet le 6 mars 2019
Luc Farré
Secrétaire Général de l’UNSA_Fonction Publique

Sélectionnés pour vous
+ d’actualités nationales

Si le dialogue social se mesure en nombre de réunions comme vient de l’écrire le Premier Ministre, le nombre d’amendements déposés sur le projet de loi de réforme de la Fonction Publique est plutôt révélateur du monologue social instauré par le gouvernement.

Un rétro plan­ning qui en dit long…

50 réunions pendant 7 mois de mars à octobre, sans retour, sans appréciation, ni communication de projets de textes sur des thématiques imposées.
Pas de concertation, pas de négociation pendant les 3 mois suivants.
Un projet de loi découvert 15 jours seulement avant la date butoire de dépôt des amendements et qui comprend des annonces jamais évoquées au cours de ces réunions !
Résultat : l’UNSA dépose plus de 100 amen­de­ments.

100 amen­de­ments qui mon­trent clai­re­ment que le gou­ver­ne­ment pra­ti­que le mono­lo­gue social et ne tient pas compte des pro­po­si­tions cons­truc­ti­ves de l’UNSA pour la fonc­tion publi­que et ses agents.

L’UNSA Fonction Publique demande au gou­ver­ne­ment de pren­dre le temps néces­saire pour qu’un véri­ta­ble dia­lo­gue social per­mette un projet de loi utile et non régres­sif.
Les droits des agents publics, qui ont renou­velé récem­ment leur confiance à leurs repré­sen­tants, doi­vent être ren­for­cés et non affai­blis.

Bagnolet le 6 mars 2019
Luc Farré
Secrétaire Général de l’UNSA_Fonction Publique