La chasse « aux sites qui trompent les femmes »

La ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol, souhaite en finir avec les sites Internet qui, sous couvert d’informer les femmes, véhiculent de scandaleuses propagandes anti IVG .

La ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol, souhaite en finir avec les sites Internet qui, sous couvert d’informer les femmes, véhiculent de scandaleuses propagandes anti IVG .

Un ensemble de mesures devrait être présenté ce mercredi 28 septembre.
Une initiative que soutient L’UNSA Éducation dont l’une des valeurs essentielles réside dans l’égalité femmes-hommes.

Rappelons que c’est la loi Veil, légalisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG) le 17 janvier 1975, qui a permis de dépénaliser l’avortement en France.

Il a fallu ensuite une deuxième loi, le 31 décembre 1979, pour que l’avortement soit définitivement légalisé.

Pendant plusieurs années, de nombreux médecins ont pu invoquer la clause de conscience pour refuser de pratiquer l’IVG et ce n’est qu’en 1983, qu’est intervenu son remboursement par la Sécurité sociale.

À l’heure où les plannings familiaux sont parfois menacés, où une clause de conscience a pu être évoquée pour les pharmaciens concernant la pilule du lendemain, il ne faudrait pas que ce droit puisse être remis en cause.

Plus d’informations sur : http://www.ivg.social-sante.gouv.fr/

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La ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol, souhaite en finir avec les sites Internet qui, sous couvert d’informer les femmes, véhiculent de scandaleuses propagandes anti IVG .

Un ensemble de mesures devrait être présenté ce mercredi 28 septembre.
Une initiative que soutient L’UNSA Éducation dont l’une des valeurs essentielles réside dans l’égalité femmes-hommes.

Rappelons que c’est la loi Veil, légalisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG) le 17 janvier 1975, qui a permis de dépénaliser l’avortement en France.

Il a fallu ensuite une deuxième loi, le 31 décembre 1979, pour que l’avortement soit définitivement légalisé.

Pendant plusieurs années, de nombreux médecins ont pu invoquer la clause de conscience pour refuser de pratiquer l’IVG et ce n’est qu’en 1983, qu’est intervenu son remboursement par la Sécurité sociale.

À l’heure où les plannings familiaux sont parfois menacés, où une clause de conscience a pu être évoquée pour les pharmaciens concernant la pilule du lendemain, il ne faudrait pas que ce droit puisse être remis en cause.

Plus d’informations sur : http://www.ivg.social-sante.gouv.fr/