Installation des comités de suivi réformes des lycées : Recréer de la confiance en prenant en compte les réalités du terrain

Ces comités étaient nécessaires et leur mise en place devait être rapide. C’était une demande forte de l’UNSA Éducation. Elle s’inscrit dans un processus de dialogue social que nous souhaitons durable. Nous voulons que ces comités ne soient pas des chambres d’enregistrement mais bien des espaces de travail qui peuvent sans concession mais sans posture et opposition stérile aborder la réalité de la mise en œuvre de la réforme.

Ces comités étaient nécessaires et leur mise en place devait être rapide. C’était une demande forte de l’UNSA Éducation. Elle s’inscrit dans un processus de dialogue social que nous souhaitons durable. Nous voulons que ces comités ne soient pas des chambres d’enregistrement mais bien des espaces de travail qui peuvent sans concession mais sans posture et opposition stérile aborder la réalité de la mise en œuvre de la réforme. Ils doivent également se mettre en capacité de formuler des recommandations, de faire des propositions pour améliorer cette réforme et prendre en compte les conditions de travail de nos collègues quels qu’ils soient et avec l’objectif de réussite des élèves.

En effet, la tension sociale forte dans les établissements l’année scolaire précédente a montré qu’il était nécessaire d’agir. Il faut agir pour redonner confiance à nos collègues. Il faut pouvoir mesurer concrètement ce qui se passe dans les établissements, en faire un bilan, proposer des ajustements, résoudre les difficultés, valoriser le travail de nos collègues et les accompagner.

Ces réformes, du baccalauréat et du lycée général et technologique et de transformation de la voie professionnelle avaient pour objectifs de simplifier le baccalauréat, de mieux préparer les élèves à la poursuite d’études dans l’enseignement supérieur, de diversifier les parcours, de supprimer les séries trop marquées socialement, de valoriser la voie professionnelle, et de mieux préparer à l’insertion professionnelle. Ces objectifs, nous les partageons.

Dès cette année mais également dans la durée, il nous faudra mesurer si les réformes contribuent à atteindre ces objectifs. Nous devrons également être très attentifs aux impacts sur les choix d’orientation qui en découleront.

De plus, à l’UNSA Éducation nous pensons qu’il faut que le climat social soit apaisé pour pouvoir travailler dans le temps long et il faudra donc apporter des éléments concrets pour accompagner les personnels dans la mise en place de cette réforme. Il faudra également savoir reconnaître leur investissement.

L’UNSA Éducation s’investira pleinement en ce sens.

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Ces comités étaient nécessaires et leur mise en place devait être rapide. C’était une demande forte de l’UNSA Éducation. Elle s’inscrit dans un processus de dialogue social que nous souhaitons durable. Nous voulons que ces comités ne soient pas des chambres d’enregistrement mais bien des espaces de travail qui peuvent sans concession mais sans posture et opposition stérile aborder la réalité de la mise en œuvre de la réforme. Ils doivent également se mettre en capacité de formuler des recommandations, de faire des propositions pour améliorer cette réforme et prendre en compte les conditions de travail de nos collègues quels qu’ils soient et avec l’objectif de réussite des élèves.

En effet, la tension sociale forte dans les établissements l’année scolaire précédente a montré qu’il était nécessaire d’agir. Il faut agir pour redonner confiance à nos collègues. Il faut pouvoir mesurer concrètement ce qui se passe dans les établissements, en faire un bilan, proposer des ajustements, résoudre les difficultés, valoriser le travail de nos collègues et les accompagner.

Ces réformes, du baccalauréat et du lycée général et technologique et de transformation de la voie professionnelle avaient pour objectifs de simplifier le baccalauréat, de mieux préparer les élèves à la poursuite d’études dans l’enseignement supérieur, de diversifier les parcours, de supprimer les séries trop marquées socialement, de valoriser la voie professionnelle, et de mieux préparer à l’insertion professionnelle. Ces objectifs, nous les partageons.

Dès cette année mais également dans la durée, il nous faudra mesurer si les réformes contribuent à atteindre ces objectifs. Nous devrons également être très attentifs aux impacts sur les choix d’orientation qui en découleront.

De plus, à l’UNSA Éducation nous pensons qu’il faut que le climat social soit apaisé pour pouvoir travailler dans le temps long et il faudra donc apporter des éléments concrets pour accompagner les personnels dans la mise en place de cette réforme. Il faudra également savoir reconnaître leur investissement.

L’UNSA Éducation s’investira pleinement en ce sens.