Etre noir.e.s tout simplement

Ce devrait effectivement être simple d’être noir.e dans la société du XXIe siècle. Mais l’actualité rappelle que ce n’est malheureusement pas le cas. Alors régulièrement des voix s’élèvent pour réaffirmer l’égalité des Humains, quelle que soit la couleur de leur peau. Ainsi dans « Mes étoiles noires », Lilian Thuram se proposait de « lutter contre le racisme et l’intolérance », en enrichissant nos connaissances et nos imaginaires avec les portraits de ses « héros » noirs.
Plus récemment un collectif d’actrices initié par l’actrice française Aïssa Maïgaun publiait le « livre-manifeste » « Noire n’est pas mon métier » dénonçant les discriminations et les stéréotypes dont les femmes noires et métisses sont victimes dans le milieu du cinéma français mais aussi à la télévision, au théâtre et dans le monde culturel en général. Hasard de calendrier avec le meurtre de Georges Floyd, sort sur les écrans le film de Jean-Pascal Zadi et John Wax « Tout simplement noir ».
Une manière d’appréhender avec humour et autodérision le racisme comme le communautarisme : « Le film est une critique du communautarisme par l’absurde, on essaie de montrer que parler de communautarisme n’a pas de sens… Le cœur du film, c’est le parcours d’un père de famille qui essaie de trouver sa place dans la société ». Des mises en lumière, juste pour rappeler que noire n’est rien d’autre qu’une couleur de peau, parmi d’autres, tout simplement.

 

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Plus récemment un collectif d’actrices initié par l’actrice française Aïssa Maïgaun publiait le « livre-manifeste » « Noire n’est pas mon métier » dénonçant les discriminations et les stéréotypes dont les femmes noires et métisses sont victimes dans le milieu du cinéma français mais aussi à la télévision, au théâtre et dans le monde culturel en général. Hasard de calendrier avec le meurtre de Georges Floyd, sort sur les écrans le film de Jean-Pascal Zadi et John Wax « Tout simplement noir ».
Une manière d’appréhender avec humour et autodérision le racisme comme le communautarisme : « Le film est une critique du communautarisme par l’absurde, on essaie de montrer que parler de communautarisme n’a pas de sens… Le cœur du film, c’est le parcours d’un père de famille qui essaie de trouver sa place dans la société ». Des mises en lumière, juste pour rappeler que noire n’est rien d’autre qu’une couleur de peau, parmi d’autres, tout simplement.