Et si on prenait le temps !

Les vacances d’été sont un moment particulier pour tout le monde. Plus d’école, de collège, de lycée, d’université pour les jeunes, et une période de vacances. La vie s’organise autrement et par moment ralentit.

Pour certains le travail continue, prend une autre forme ou s’intensifie pour répondre à la demande de ceux qui seront en vacances. Pour d’autres en congés ce sont des moments de repos et de pauses nécessaires et utiles. C’est l’occasion d’organiser son temps différemment : du temps pour se ressourcer, du temps pour souffler, du temps pour penser, du temps pour travailler autrement, du temps pour s’échapper, du temps pour rêver, du temps pour les autres mais aussi du temps pour soi… Nous souhaitons à chacune et chacun de profiter pleinement de tous ces temps.

Il serait bien que le gouvernement songe parfois à ralentir lui aussi. Enchainer les réformes à un rythme effréné sans prendre le temps du dialogue social nécessaire n’est plus possible. Ce n’est pas en changeant brutalement les programmes en plein mois de juillet par exemple que peut se construire l’École de la confiance.

Les vacances sont souvent le temps de faire autrement. Il pourrait en être de même pour ce gouvernement en laissant la possibilité de construire ensemble, de mieux partager les réformes ; en prenant le temps de dénouer les tensions plutôt que chercher à avancer coûte que coûte à marche forcée, voire tête baissée.

En effet, prendre le temps c’est aussi regarder autour de nous. Réfléchir et agir contre les dérives populistes et d’extrêmes droites qui partout en Europe refusent la solidarité.

Oui, il y a des sujets préoccupants. Il en est même certains sur lesquels il ne faut pas perdre du temps. Comment comprendre le report de la présentation d’un plan pauvreté pour des motifs indécents en comparaison des enjeux ?

Alors oui laissons nous du temps, laissez nous du temps ; du temps pour nous et du temps pour les autres.

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Les vacances d’été sont un moment particulier pour tout le monde. Plus d’école, de collège, de lycée, d’université pour les jeunes, et une période de vacances. La vie s’organise autrement et par moment ralentit.

Pour certains le travail continue, prend une autre forme ou s’intensifie pour répondre à la demande de ceux qui seront en vacances. Pour d’autres en congés ce sont des moments de repos et de pauses nécessaires et utiles. C’est l’occasion d’organiser son temps différemment : du temps pour se ressourcer, du temps pour souffler, du temps pour penser, du temps pour travailler autrement, du temps pour s’échapper, du temps pour rêver, du temps pour les autres mais aussi du temps pour soi… Nous souhaitons à chacune et chacun de profiter pleinement de tous ces temps.

Il serait bien que le gouvernement songe parfois à ralentir lui aussi. Enchainer les réformes à un rythme effréné sans prendre le temps du dialogue social nécessaire n’est plus possible. Ce n’est pas en changeant brutalement les programmes en plein mois de juillet par exemple que peut se construire l’École de la confiance.

Les vacances sont souvent le temps de faire autrement. Il pourrait en être de même pour ce gouvernement en laissant la possibilité de construire ensemble, de mieux partager les réformes ; en prenant le temps de dénouer les tensions plutôt que chercher à avancer coûte que coûte à marche forcée, voire tête baissée.

En effet, prendre le temps c’est aussi regarder autour de nous. Réfléchir et agir contre les dérives populistes et d’extrêmes droites qui partout en Europe refusent la solidarité.

Oui, il y a des sujets préoccupants. Il en est même certains sur lesquels il ne faut pas perdre du temps. Comment comprendre le report de la présentation d’un plan pauvreté pour des motifs indécents en comparaison des enjeux ?

Alors oui laissons nous du temps, laissez nous du temps ; du temps pour nous et du temps pour les autres.