Enfin l’inversion de la courbe

Cette fois c’est sûr, la courbe s’est inversée, de manière durable. Elle est passée sous la barre des 10% fatidiques.


Certes, il y aura toujours des mauvais esprits pour discuter les mesures, attribuer une partie de ces résultats encourageants aux changements de méthodes de calculs ou remettre en cause les indicateurs.

D’autres ne manqueront pas de rappeler que depuis 2010 déjà la mobilisation est réelle et que donc, cette baisse ne peut être attribuée aux seules réformes de ce quinquennat.

Il n’en demeure pas moins que depuis 5 ans la baisse est de 20%. Un résultat loin d’être négligeable et dont, toutes et tous, nous ne pouvons que nous réjouir.

Bien entendu des efforts importants restent à réaliser. Pour les 80% restant. Pour que cette tendance perdure et se renforce. Pour qu’une nouvelle politique ne vienne pas ruiner les mesures efficaces qui commencent à porter leurs fruits.

Car une telle inversion ne peut être que le résultat d’une mobilisation globale, d’une politique pérenne, de réformes cohérentes.

C’est pour l’essentiel ce qui a été fait dans le cadre de la refondation de l’école de la république et c’est donc normal de saluer comme il se doit l’inversion de la courbe du décrochage scolaire qui passe ainsi de 135000 -140 000 jeunes ayant quitté le système scolaire sans diplôme ni qualification en 2012 à 107 000 en 2015.

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Cette fois c’est sûr, la courbe s’est inversée, de manière durable. Elle est passée sous la barre des 10% fatidiques.


Certes, il y aura toujours des mauvais esprits pour discuter les mesures, attribuer une partie de ces résultats encourageants aux changements de méthodes de calculs ou remettre en cause les indicateurs.

D’autres ne manqueront pas de rappeler que depuis 2010 déjà la mobilisation est réelle et que donc, cette baisse ne peut être attribuée aux seules réformes de ce quinquennat.

Il n’en demeure pas moins que depuis 5 ans la baisse est de 20%. Un résultat loin d’être négligeable et dont, toutes et tous, nous ne pouvons que nous réjouir.

Bien entendu des efforts importants restent à réaliser. Pour les 80% restant. Pour que cette tendance perdure et se renforce. Pour qu’une nouvelle politique ne vienne pas ruiner les mesures efficaces qui commencent à porter leurs fruits.

Car une telle inversion ne peut être que le résultat d’une mobilisation globale, d’une politique pérenne, de réformes cohérentes.

C’est pour l’essentiel ce qui a été fait dans le cadre de la refondation de l’école de la république et c’est donc normal de saluer comme il se doit l’inversion de la courbe du décrochage scolaire qui passe ainsi de 135000 -140 000 jeunes ayant quitté le système scolaire sans diplôme ni qualification en 2012 à 107 000 en 2015.