Des étoiles noires plein les yeux

« La meilleure façon de lutter contre le racisme et l’intolérance, c’est d’enrichir nos connaissances et nos imaginaires » affirme Lilian Thuram dans son livre « Mes étoiles noires ». Il y dresse le portrait et décrit l’engagement d’une cinquantaine de femmes et d’hommes qui, de Lucy à Barack Obama, ont marqué l’humanité et fait progresser l’égalité entre tous les humains.

Cette approche montre combien le raciste est un fléau qu’il faut combattre en permanence, que malgré l’action de ces militants, il demeure d’actualité. Mais que « s’il ne s’éteindra pas du jour au lendemain […] chacun de nous à la possibilité d’améliorer les choses pour les générations futures ».

Un livre à mettre entre les mains de toutes couleurs, à lire et à relire sans modération.

La fondation Lilian Thuram Éducation contre le racisme poursuit également cette œuvre au travers d’actions proposées aux éducateurs à partir de cette conviction que « contre le racisme, il faut éduquer » :

« On ne naît pas raciste, on le devient. Cette vérité est la pierre angulaire de la Fondation Éducation contre le racisme. Le racisme est avant tout une construction intellectuelle. Nous devons prendre conscience que l’Histoire nous a conditionnés, de génération en génération, à nous voir avant tout comme des Noirs, des Blancs, des Maghrébins, des Asiatiques …
Nous souhaitons transmettre cet enseignement, avec des supports pédagogiques, organiser des activités et des événements, et inculquer ces valeurs par l’intermédiaire des parents, de l’école et du sport
. » affirme la fondation qui propose comme démarche de désapprendre et d’apprendre, de désapprendre et d’enseigner. En effet, « il est important de comprendre comment nos préjugés se sont mis en place pour pouvoir les déconstruire. Nos sociétés doivent intégrer l’idée pourtant simple que la couleur de la peau, le genre, la religion, la sexualité d’une personne ne déterminent en rien son intelligence, la langue qu’elle parle, ses capacités physiques, sa nationalité, ce qu’elle aime ou déteste. Chacun de nous est capable d’apprendre n’importe quoi, le pire comme le meilleur ».

Une manière d’appréhender autrement les étoiles noires qui peuplent notre univers.

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« La meilleure façon de lutter contre le racisme et l’intolérance, c’est d’enrichir nos connaissances et nos imaginaires » affirme Lilian Thuram dans son livre « Mes étoiles noires ». Il y dresse le portrait et décrit l’engagement d’une cinquantaine de femmes et d’hommes qui, de Lucy à Barack Obama, ont marqué l’humanité et fait progresser l’égalité entre tous les humains.

Cette approche montre combien le raciste est un fléau qu’il faut combattre en permanence, que malgré l’action de ces militants, il demeure d’actualité. Mais que « s’il ne s’éteindra pas du jour au lendemain […] chacun de nous à la possibilité d’améliorer les choses pour les générations futures ».

Un livre à mettre entre les mains de toutes couleurs, à lire et à relire sans modération.

La fondation Lilian Thuram Éducation contre le racisme poursuit également cette œuvre au travers d’actions proposées aux éducateurs à partir de cette conviction que « contre le racisme, il faut éduquer » :

« On ne naît pas raciste, on le devient. Cette vérité est la pierre angulaire de la Fondation Éducation contre le racisme. Le racisme est avant tout une construction intellectuelle. Nous devons prendre conscience que l’Histoire nous a conditionnés, de génération en génération, à nous voir avant tout comme des Noirs, des Blancs, des Maghrébins, des Asiatiques …
Nous souhaitons transmettre cet enseignement, avec des supports pédagogiques, organiser des activités et des événements, et inculquer ces valeurs par l’intermédiaire des parents, de l’école et du sport
. » affirme la fondation qui propose comme démarche de désapprendre et d’apprendre, de désapprendre et d’enseigner. En effet, « il est important de comprendre comment nos préjugés se sont mis en place pour pouvoir les déconstruire. Nos sociétés doivent intégrer l’idée pourtant simple que la couleur de la peau, le genre, la religion, la sexualité d’une personne ne déterminent en rien son intelligence, la langue qu’elle parle, ses capacités physiques, sa nationalité, ce qu’elle aime ou déteste. Chacun de nous est capable d’apprendre n’importe quoi, le pire comme le meilleur ».

Une manière d’appréhender autrement les étoiles noires qui peuplent notre univers.