Carrières et rémunérations dans l’Enseignement supérieur et la Recherche. Une étape indispensable

L’UNSA est signataire du protocole PPCR. Ce cadre devait permettre de faire évoluer les carrières et les rémunérations pour le plus grand nombre d’agents possible. Les différentes déclinaisons faites depuis notre signature nous confirment aujourd’hui que nous avons eu raison de nous engager dans cette voie. Nous avons également conscience des limites et des manques et des combats qu’il faudra mener pour aboutir sur d’autres revendications.

L’UNSA est signataire du protocole PPCR. Ce cadre devait permettre de faire évoluer les carrières et les rémunérations pour le plus grand nombre d’agents possible. Les différentes déclinaisons faites depuis notre signature nous confirment aujourd’hui que nous avons eu raison de nous engager dans cette voie. Nous avons également conscience des limites et des manques et des combats qu’il faudra mener pour aboutir sur d’autres revendications.

Pour les corps de l’enseignement supérieur et de la recherche concernés par les annonces faites ce jour, l’attente était très forte. Certains d’entre eux ont des grilles figées depuis de nombreuses années et il n’était pas question d’en rester au statu quo. L’UNSA Éducation engagée dans PPCR porte un regard globalement positif sur les mesures qui sont présentées aujourd’hui, en particulier pour les ITRF, les Chargés de Recherche et les Conservateurs. Elles vont permettre une revalorisation des rémunérations pour l’ensemble des corps. Ces mesures correspondent à la transposition de l’accord PPCR et du travail mené pour les enseignants du second degré dans laquelle notre organisation s’est impliquée. Il était impensable que les corps de l’enseignement supérieur et de la recherche soient laissés à l’écart.

Néanmoins, la situation de l’Enseignement supérieur et de la recherche reste très tendue.
Sur certains points nous aurions souhaité pouvoir aller plus loin.
Ainsi, pour la filière ITRF en conservant un corps d’assistants ingénieurs on empêche un parcours plus fluide dans la filière A des ITRF.
En ce qui concerne les maitres de conférences nos attentes restent fortes et partiellement satisfaites. Les propositions que nous portons, et que nous continuerons de défendre ne sont ni déraisonnables ni corporatistes. Elles doivent être considérées car elles prétendent répondre à un problème qu’il va bien falloir résoudre un jour ou l’autre, celui de la reconnaissance effective de l’engagement de nos collègues dans l’ensemble des missions qui sont les leurs. A cet égard, la réduction du 5e échelon de la HC et l’accès linéaire à la HEB auraient été les bienvenus et perçus comme un geste fort dans cette direction.

Ivry sur Seine, le 12 janvier 2017


Laurent ESCURE, secrétaire général UNSA Éducation

Martine SAMAMA, secrétaire générale UNSA ITRF-BI-O

Stéphane LEYMARIE, secrétaire général Sup’Recherche-UNSA

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L’UNSA est signataire du protocole PPCR. Ce cadre devait permettre de faire évoluer les carrières et les rémunérations pour le plus grand nombre d’agents possible. Les différentes déclinaisons faites depuis notre signature nous confirment aujourd’hui que nous avons eu raison de nous engager dans cette voie. Nous avons également conscience des limites et des manques et des combats qu’il faudra mener pour aboutir sur d’autres revendications.

Pour les corps de l’enseignement supérieur et de la recherche concernés par les annonces faites ce jour, l’attente était très forte. Certains d’entre eux ont des grilles figées depuis de nombreuses années et il n’était pas question d’en rester au statu quo. L’UNSA Éducation engagée dans PPCR porte un regard globalement positif sur les mesures qui sont présentées aujourd’hui, en particulier pour les ITRF, les Chargés de Recherche et les Conservateurs. Elles vont permettre une revalorisation des rémunérations pour l’ensemble des corps. Ces mesures correspondent à la transposition de l’accord PPCR et du travail mené pour les enseignants du second degré dans laquelle notre organisation s’est impliquée. Il était impensable que les corps de l’enseignement supérieur et de la recherche soient laissés à l’écart.

Néanmoins, la situation de l’Enseignement supérieur et de la recherche reste très tendue.
Sur certains points nous aurions souhaité pouvoir aller plus loin.
Ainsi, pour la filière ITRF en conservant un corps d’assistants ingénieurs on empêche un parcours plus fluide dans la filière A des ITRF.
En ce qui concerne les maitres de conférences nos attentes restent fortes et partiellement satisfaites. Les propositions que nous portons, et que nous continuerons de défendre ne sont ni déraisonnables ni corporatistes. Elles doivent être considérées car elles prétendent répondre à un problème qu’il va bien falloir résoudre un jour ou l’autre, celui de la reconnaissance effective de l’engagement de nos collègues dans l’ensemble des missions qui sont les leurs. A cet égard, la réduction du 5e échelon de la HC et l’accès linéaire à la HEB auraient été les bienvenus et perçus comme un geste fort dans cette direction.

Ivry sur Seine, le 12 janvier 2017


Laurent ESCURE, secrétaire général UNSA Éducation

Martine SAMAMA, secrétaire générale UNSA ITRF-BI-O

Stéphane LEYMARIE, secrétaire général Sup’Recherche-UNSA