Avancement des fonctionnaires: le blocage créerait un conflit majeur avec les agents !

Dans un communiqué publié ce matin, l’UNSA Fonction publi­que demande au Premier minis­tre, «pour que le dia­lo­gue social puisse se dérouler dans un contexte apaisé, de faire taire la rumeur en réaf­fir­mant son oppo­si­tion à la mise en place d’un blo­cage de l’avan­ce­ment des fonc­tion­nai­res».

Dans un communiqué publié ce matin, l’UNSA Fonction publi­que demande au Premier minis­tre, «pour que le dia­lo­gue social puisse se dérouler dans un contexte apaisé, de faire taire la rumeur en réaf­fir­mant son oppo­si­tion à la mise en place d’un blo­cage de l’avan­ce­ment des fonc­tion­nai­res».

Communiqué de l’UNSA Fonction publique du 6 février 2014

Une rumeur attribue à Vincent Peillon l’idée d’un blocage pendant deux ans de l’avancement des fonctionnaires. L’UNSA Fonction publique combattrait, sans réserve, toute tentative en ce sens si elle était avérée.

Depuis plu­sieurs semai­nes cir­cule l’idée qu’on pour­rait blo­quer l’avan­ce­ment des fonc­tion­nai­res pour per­met­tre des économies sup­plé­men­tai­res sur la dépense publi­que. Elle a, jusqu’à main­te­nant, été démen­tie par la minis­tre de la Fonction publi­que. Cette mesure ne pour­rait conduire qu’à un conflit majeur avec les agents publics.

Depuis quatre ans, le point d’indice est gelé et le pou­voir d’achat se dégrade comme le confir­ment les der­niè­res sta­tis­ti­ques de l’INSEE. La seule aug­men­ta­tion qui peut être espé­rée est l’avan­ce­ment qui reconnaît une évolution de l’exper­tise ou de la qua­li­fi­ca­tion. La faire dis­pa­raî­tre aggra­ve­rait la perte de pou­voir d’achat et serait la marque d’un aban­don du prin­cipe d’une Fonction publi­que de car­rière auquel, le Premier minis­tre l’a rap­pelé lors de ses vœux à Metz, le gou­ver­ne­ment se dit atta­ché.

L’UNSA Fonction publi­que demande donc au Premier minis­tre, pour que le dia­lo­gue social puisse se faire dans un contexte apaisé, de faire taire la rumeur en réaf­fir­mant son oppo­si­tion à la mise en place d’un blo­cage de l’avan­ce­ment des fonc­tion­nai­res.

Voir le texte sur le site de l’UNSA Fonction publique.

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Dans un communiqué publié ce matin, l’UNSA Fonction publi­que demande au Premier minis­tre, «pour que le dia­lo­gue social puisse se dérouler dans un contexte apaisé, de faire taire la rumeur en réaf­fir­mant son oppo­si­tion à la mise en place d’un blo­cage de l’avan­ce­ment des fonc­tion­nai­res».

Communiqué de l’UNSA Fonction publique du 6 février 2014

Une rumeur attribue à Vincent Peillon l’idée d’un blocage pendant deux ans de l’avancement des fonctionnaires. L’UNSA Fonction publique combattrait, sans réserve, toute tentative en ce sens si elle était avérée.

Depuis plu­sieurs semai­nes cir­cule l’idée qu’on pour­rait blo­quer l’avan­ce­ment des fonc­tion­nai­res pour per­met­tre des économies sup­plé­men­tai­res sur la dépense publi­que. Elle a, jusqu’à main­te­nant, été démen­tie par la minis­tre de la Fonction publi­que. Cette mesure ne pour­rait conduire qu’à un conflit majeur avec les agents publics.

Depuis quatre ans, le point d’indice est gelé et le pou­voir d’achat se dégrade comme le confir­ment les der­niè­res sta­tis­ti­ques de l’INSEE. La seule aug­men­ta­tion qui peut être espé­rée est l’avan­ce­ment qui reconnaît une évolution de l’exper­tise ou de la qua­li­fi­ca­tion. La faire dis­pa­raî­tre aggra­ve­rait la perte de pou­voir d’achat et serait la marque d’un aban­don du prin­cipe d’une Fonction publi­que de car­rière auquel, le Premier minis­tre l’a rap­pelé lors de ses vœux à Metz, le gou­ver­ne­ment se dit atta­ché.

L’UNSA Fonction publi­que demande donc au Premier minis­tre, pour que le dia­lo­gue social puisse se faire dans un contexte apaisé, de faire taire la rumeur en réaf­fir­mant son oppo­si­tion à la mise en place d’un blo­cage de l’avan­ce­ment des fonc­tion­nai­res.

Voir le texte sur le site de l’UNSA Fonction publique.