Après le 11 JANVIER 2015 : VIVRE ENSEMBLE, TRAVAILLER ENSEMBLE…

Les organisations syndicales qui partagent des principes et des valeurs communes ont décidé de travailler ensemble pour s’opposer à la fois à la montée du populisme, de l’extrême droite et de ses idées, de la xénophobie, du sectarisme et du fondamentalisme, mais aussi pour rechercher et exiger des réponses à la crise économique et sociale.

Parce que nous croyons en un avenir partagé et pacifique, nous voulons rester fidèle à ce que certains appellent l’esprit du 11 janvier. La crise n’est pas une fatalité. Il faut relancer l’économie, créer des emplois de qualité notamment pour les jeunes et les seniors, soutenir le pouvoir d’achat, maintenir notre protection sociale, lutter contre les inégalités et garantir l’égalité des droits. Il faut développer le dialogue social, les libertés syndicales et exiger du patronat des contreparties aux subventions accordées aux entreprises. En aucun cas ces aides publiques ne doivent servir à augmenter les dividendes versés aux actionnaires. Avec la Confédération Européenne des Syndicats, nous revendiquons un grand plan d’investissement européen et des mesures fortes pour mettre un terme au dumping social et fiscal.

Notre action est portée par les valeurs de paix et de fraternité qui sont celles du syndicalisme au coeur desquelles figurent la solidarité entre tous les salarié-es et la lutte contre toutes les formes de discrimination. Mais la solidarité ne peut pas être invoquée uniquement dans les périodes dramatiques, elle doit être un souci quotidien pour entretenir le sentiment d’appartenance à la communauté humaine ici et dans le monde.

Nous appelons toutes nos adhérent-es et toutes nos militant-es mais au-delà toutes les travailleuses et tous les travailleurs à se rassembler dans les entreprises pour barrer la route au populisme, aux idées d’extrême droite et à la démagogie, et militer résolument pour les valeurs du syndicalisme et des principes républicains.

C’est par ce combat porteur d’avenir que nous renforcerons le « vivre et le travailler ensemble » dans les entreprises, les administrations et sur les territoires.

Tel sont les mots qui concluent l’action commune de sept organisations syndicales pour prolonger l’esprit du 11 janvier. Sous la forme d’un « manifeste des syndicats unis pour le «vivre ensemble» et contre les extrémismes », un texte commun a été rendu public le 5 juin dernier par la CGT, la CFDT, la CFTC, la CFE-CGC, l’UNSA, la FSU et Solidaires. Il est structuré en cinq chapitres :
1.       L’emploi et le travail : « Des facteurs essentiels d’émancipation et d’intégration sociale »
2.       Agir contre les discriminations à l’embauche et au travail. « Des préjugés au racisme et à l’exclusion, les chemins de l’inacceptable »
3.       Agir dans les cités, les quartiers, les villes et les villages : « Vivre ensemble dans le respect et le bien-être »
4.       Education, école : « Les parcours de la citoyenneté : On ne nait pas citoyen, on le devient ».
5.       Laïcité au travail : « La liberté dans le respect mutuel »

En effet, au-delà des mots, il s’agit de donner du sens et de faire vivre dans le quotidien les principes de la démocratie sociale, d’une société plus juste, plus solidaire, plus humaniste, rempart contre la montée des populismes et des extrémismes.

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Les organisations syndicales qui partagent des principes et des valeurs communes ont décidé de travailler ensemble pour s’opposer à la fois à la montée du populisme, de l’extrême droite et de ses idées, de la xénophobie, du sectarisme et du fondamentalisme, mais aussi pour rechercher et exiger des réponses à la crise économique et sociale.

Parce que nous croyons en un avenir partagé et pacifique, nous voulons rester fidèle à ce que certains appellent l’esprit du 11 janvier. La crise n’est pas une fatalité. Il faut relancer l’économie, créer des emplois de qualité notamment pour les jeunes et les seniors, soutenir le pouvoir d’achat, maintenir notre protection sociale, lutter contre les inégalités et garantir l’égalité des droits. Il faut développer le dialogue social, les libertés syndicales et exiger du patronat des contreparties aux subventions accordées aux entreprises. En aucun cas ces aides publiques ne doivent servir à augmenter les dividendes versés aux actionnaires. Avec la Confédération Européenne des Syndicats, nous revendiquons un grand plan d’investissement européen et des mesures fortes pour mettre un terme au dumping social et fiscal.

Notre action est portée par les valeurs de paix et de fraternité qui sont celles du syndicalisme au coeur desquelles figurent la solidarité entre tous les salarié-es et la lutte contre toutes les formes de discrimination. Mais la solidarité ne peut pas être invoquée uniquement dans les périodes dramatiques, elle doit être un souci quotidien pour entretenir le sentiment d’appartenance à la communauté humaine ici et dans le monde.

Nous appelons toutes nos adhérent-es et toutes nos militant-es mais au-delà toutes les travailleuses et tous les travailleurs à se rassembler dans les entreprises pour barrer la route au populisme, aux idées d’extrême droite et à la démagogie, et militer résolument pour les valeurs du syndicalisme et des principes républicains.

C’est par ce combat porteur d’avenir que nous renforcerons le « vivre et le travailler ensemble » dans les entreprises, les administrations et sur les territoires.

Tel sont les mots qui concluent l’action commune de sept organisations syndicales pour prolonger l’esprit du 11 janvier. Sous la forme d’un « manifeste des syndicats unis pour le «vivre ensemble» et contre les extrémismes », un texte commun a été rendu public le 5 juin dernier par la CGT, la CFDT, la CFTC, la CFE-CGC, l’UNSA, la FSU et Solidaires. Il est structuré en cinq chapitres :
1.       L’emploi et le travail : « Des facteurs essentiels d’émancipation et d’intégration sociale »
2.       Agir contre les discriminations à l’embauche et au travail. « Des préjugés au racisme et à l’exclusion, les chemins de l’inacceptable »
3.       Agir dans les cités, les quartiers, les villes et les villages : « Vivre ensemble dans le respect et le bien-être »
4.       Education, école : « Les parcours de la citoyenneté : On ne nait pas citoyen, on le devient ».
5.       Laïcité au travail : « La liberté dans le respect mutuel »

En effet, au-delà des mots, il s’agit de donner du sens et de faire vivre dans le quotidien les principes de la démocratie sociale, d’une société plus juste, plus solidaire, plus humaniste, rempart contre la montée des populismes et des extrémismes.