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AEFE 52 postes supprimés… et après ?

Suite à l'annonce de la suppression de 52 postes à l'AEFE sur le budget 2018, l'UNSA Éducation s'est rendue au cabinet du Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères afin d'échanger sur ces fermetures de postes et sur l'avenir de notre réseau d'enseignement français à l'étranger.

Suite à l’annonce de la suppression de 52 postes à l’AEFE sur le budget 2018, l’UNSA Éducation s’est rendue au cabinet du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères afin d’échanger sur ces fermetures de postes et sur l’avenir de notre réseau d’enseignement français à l’étranger.

Tout d’abord, il nous a été confirmé qu’aucun collègue en poste ne serait touché par ces suppressions de postes. Ces fermetures ne concerneront que les collègues qui partent en retraite ou qui feraient le choix d’un retour en France.cliquez ici pour notre communiqué de presse.

De plus, il nous a été assuré que les budgets 2018 et 2019, comme l’avait dit le président, seraient sanctuarisés et au même niveau que celui de 2017 (avant la coupe de 33 millions de juillet 2017).

Pour continuer sur le budget de l’Agence, les équipes font leur maximum (à la direction, au secrétariat général, à la DRH comme au service financier et comptable) afin de trouver des solutions pour répondre au déficit structurel de 25 millions accumulés depuis 2009 et les arbitrages du Président Sarkozy.

Pour l’UNSA Education se pose la question des choix opérés par l’Agence. Cela va-t-il se traduire par des fermetures de postes massives ? Quel avenir pour notre réseau ? Ces questions seront bien évidemment évoquées lors du comité technique et du conseil d’administration de l’Agence où nous siégeons. Mais aussi lors de notre Audience fédérale avec le directeur de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE), Christophe Bouchard, le 22 novembre.

Pour l’UNSA Education, l’AEFE est le pilier de l’enseignement français à l’étranger et si nous devons toucher davantage de familles et intensifier la politique de rayonnement culturel au sein des pays d’accueil, c’est bien en développant l’opérateur public que nous réussirons.

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Suite à l’annonce de la suppression de 52 postes à l’AEFE sur le budget 2018, l’UNSA Éducation s’est rendue au cabinet du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères afin d’échanger sur ces fermetures de postes et sur l’avenir de notre réseau d’enseignement français à l’étranger.

Tout d’abord, il nous a été confirmé qu’aucun collègue en poste ne serait touché par ces suppressions de postes. Ces fermetures ne concerneront que les collègues qui partent en retraite ou qui feraient le choix d’un retour en France.cliquez ici pour notre communiqué de presse.

De plus, il nous a été assuré que les budgets 2018 et 2019, comme l’avait dit le président, seraient sanctuarisés et au même niveau que celui de 2017 (avant la coupe de 33 millions de juillet 2017).

Pour continuer sur le budget de l’Agence, les équipes font leur maximum (à la direction, au secrétariat général, à la DRH comme au service financier et comptable) afin de trouver des solutions pour répondre au déficit structurel de 25 millions accumulés depuis 2009 et les arbitrages du Président Sarkozy.

Pour l’UNSA Education se pose la question des choix opérés par l’Agence. Cela va-t-il se traduire par des fermetures de postes massives ? Quel avenir pour notre réseau ? Ces questions seront bien évidemment évoquées lors du comité technique et du conseil d’administration de l’Agence où nous siégeons. Mais aussi lors de notre Audience fédérale avec le directeur de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE), Christophe Bouchard, le 22 novembre.

Pour l’UNSA Education, l’AEFE est le pilier de l’enseignement français à l’étranger et si nous devons toucher davantage de familles et intensifier la politique de rayonnement culturel au sein des pays d’accueil, c’est bien en développant l’opérateur public que nous réussirons.