5 minutes pour comprendre : « Crise sanitaire, une menace pour le droit des femmes ? »

Il y a quelques semaines un article du magazine Sciences et Avenir, reposant sur des études chinoises et italiennes, nous apprenait que le covid-19 affectait et tuait plus d’hommes que de femmes. Cela signifie-t-il que cette période de crise est plus facile pour les femmes que pour les hommes ? Bien au contraire !

Il y a quelques semaines un article du magazine Sciences et Avenir, reposant sur des études chinoises et italiennes, nous apprenait que le covid-19 affectait et tuait plus d’hommes que de femmes. Cela signifie-t-il que cette période de crise est plus facile pour les femmes que pour les hommes ?

Bien au contraire !

Un mal profond perdure depuis des années et s’accentue ces dernières semaines sans qu’on trouve vaccin ou gestes barrières : les violences faites aux femmes.
Ce dernier mois, les interventions pour violences conjugales ont en effet augmenté de plus de 40%. Le confinement renforce l’isolement des victimes.

Cette réalité, en cache une autre.

Ces  » invisibles  » d’hier, trop souvent peu considérés et sous-payés mais applaudis aujourd’hui sont en grande majorité des femmes.
Infirmières, agentes d’entretien, aides-soignantes, auxiliaires de vie, pharmaciennes, caissières, personnels des EHPAD… sont des professions féminisées à plus de 70 % et qui combattent le Covid-19.

Les femmes sont donc en première ligne et la crise du covid-19 menace leurs droits. Pour faire le point, Amandine Clavaud, responsable Europe et Égalité femmes-hommes à la Fondation Jean-Jaurès répond aux questions de l’UNSA Éducation.

Retrouvez l’interview d’Amandine Clavaud

1/Plus de la moitié de la population mondiale est confinée : qu’est-ce que cela implique pour la situation des femmes et de leurs droits ?
Est-ce qu’il y a des actions efficaces mises en œuvre dans certains pays et qu’il serait possible de généraliser ?

2/On voit qu’une grande partie des professions en première ligne durant cette crise sanitaire est exercée par des femmes. Il y a-t-il dans ce contexte une meilleure visibilité et reconnaissance des femmes au travail ?

3/Comment imaginer l’après-crise pour le droit des femmes ?

 

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Il y a quelques semaines un article du magazine Sciences et Avenir, reposant sur des études chinoises et italiennes, nous apprenait que le covid-19 affectait et tuait plus d’hommes que de femmes. Cela signifie-t-il que cette période de crise est plus facile pour les femmes que pour les hommes ?

Bien au contraire !

Un mal profond perdure depuis des années et s’accentue ces dernières semaines sans qu’on trouve vaccin ou gestes barrières : les violences faites aux femmes.
Ce dernier mois, les interventions pour violences conjugales ont en effet augmenté de plus de 40%. Le confinement renforce l’isolement des victimes.

Cette réalité, en cache une autre.

Ces  » invisibles  » d’hier, trop souvent peu considérés et sous-payés mais applaudis aujourd’hui sont en grande majorité des femmes.
Infirmières, agentes d’entretien, aides-soignantes, auxiliaires de vie, pharmaciennes, caissières, personnels des EHPAD… sont des professions féminisées à plus de 70 % et qui combattent le Covid-19.

Les femmes sont donc en première ligne et la crise du covid-19 menace leurs droits. Pour faire le point, Amandine Clavaud, responsable Europe et Égalité femmes-hommes à la Fondation Jean-Jaurès répond aux questions de l’UNSA Éducation.

Retrouvez l’interview d’Amandine Clavaud

1/Plus de la moitié de la population mondiale est confinée : qu’est-ce que cela implique pour la situation des femmes et de leurs droits ?
Est-ce qu’il y a des actions efficaces mises en œuvre dans certains pays et qu’il serait possible de généraliser ?

2/On voit qu’une grande partie des professions en première ligne durant cette crise sanitaire est exercée par des femmes. Il y a-t-il dans ce contexte une meilleure visibilité et reconnaissance des femmes au travail ?

3/Comment imaginer l’après-crise pour le droit des femmes ?