D30. CHSCT exceptionnel : l’analyse des risques professionnels

Après avoir entendu les différentes personnes ressources exposer toutes les mesures qui avaient été mises en place pour régler le problème du trafic de drogue autour des écoles de chemin bas, l’UNSA Education est intervenue pour indiquer que malgré tous les efforts entrepris, les mesures semblent toutefois insuffisantes et restent pour l’instant inopérantes au quotidien.

Ainsi, les personnels continuent à travailler dans l’angoisse parmi les trafics de drogue dans un quartier qui par instant ressemble à une véritable zone de guerre. L’hypervigilance dont ils doivent faire preuve sur leur lieu de travail, les soumet à une tension extrême avec un véritable risque de développer un stress post-traumatique.  Par ailleurs, la situation s’inscrivant dans  la durée et la répétition, le risque d’épuisement professionnel n’est pas à négliger.

Le risque d’agression ou de représailles n’est pas non plus à écarter et si pour l’instant rien ne s’est heureusement passé, les agents peuvent légitimement le redouter.

En tant que membres de ce CHSCT, nous avons fait le constat que les personnels de ces écoles sont soumis à des risques psychosociaux qui se caractérisent par un climat de violence externe. Plusieurs indicateurs nous renseignent sur la gravité et la récurrence du danger (fiches RSST, faits établissement, activation du PPMS, droit de retrait …) et son impact sur les agents (arrêts de travail). 

Pour l’UNSA Education, il est urgent qu’un véritable travail de prévention secondaire soit rapidement entrepris par l’employeur à destination des personnels soumis aux risques que nous venons d’évoquer. (La prévention secondaire défini toutes les actions qui vont être mis en œuvre pour protéger ou atténuer un risque professionnel auquel des personnels identifiés peuvent être soumis). Nous avons demandé au directeur académique un vrai suivi psychologique de ces personnels dans la durée ainsi que des mesures  de sécurisation sur le bâti scolaire.

Voir les préconisations de l’UNSA Education

Après avoir entendu les différentes personnes ressources exposer toutes les mesures qui avaient été mises en place pour régler le problème du trafic de drogue autour des écoles de chemin bas, l’UNSA Education est intervenue pour indiquer que malgré tous les efforts entrepris, les mesures semblent toutefois insuffisantes et restent pour l’instant inopérantes au quotidien.

Ainsi, les personnels continuent à travailler dans l’angoisse parmi les trafics de drogue dans un quartier qui par instant ressemble à une véritable zone de guerre. L’hypervigilance dont ils doivent faire preuve sur leur lieu de travail, les soumet à une tension extrême avec un véritable risque de développer un stress post-traumatique.  Par ailleurs, la situation s’inscrivant dans  la durée et la répétition, le risque d’épuisement professionnel n’est pas à négliger.

Le risque d’agression ou de représailles n’est pas non plus à écarter et si pour l’instant rien ne s’est heureusement passé, les agents peuvent légitimement le redouter.

En tant que membres de ce CHSCT, nous avons fait le constat que les personnels de ces écoles sont soumis à des risques psychosociaux qui se caractérisent par un climat de violence externe. Plusieurs indicateurs nous renseignent sur la gravité et la récurrence du danger (fiches RSST, faits établissement, activation du PPMS, droit de retrait …) et son impact sur les agents (arrêts de travail). 

Pour l’UNSA Education, il est urgent qu’un véritable travail de prévention secondaire soit rapidement entrepris par l’employeur à destination des personnels soumis aux risques que nous venons d’évoquer. (La prévention secondaire défini toutes les actions qui vont être mis en œuvre pour protéger ou atténuer un risque professionnel auquel des personnels identifiés peuvent être soumis). Nous avons demandé au directeur académique un vrai suivi psychologique de ces personnels dans la durée ainsi que des mesures  de sécurisation sur le bâti scolaire.

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