Compte-rendu du CHSCT du 14 mai 2018

Le CHSCT s’est d’abord réuni le 12 avril pour examiner un roboratif ordre du jour. Cependant, nous n’avons pas été au bout de ce travail pour des raisons que nous allons vous expliquer plus bas.

 

Après l’approbation du PV de la séance du 30 novembre, il nous a été présenté une synthèse autour des accidents du travail et des maladies professionnelles en Vendée.

Logiquement, il est apparu que les principaux accidents étaient les entorses. Nous avons cependant demandé que les causes de ces entorses soient approfondies pour qu’une politique de prévention soit mise en place à ce sujet.

Bien entendu, d’autres types d’accident s’ajoutent comme les accidents de trajet ou des problèmes liés à de la manutention. On peut penser ici aux secrétaires dans les EPLE qui manipulent beaucoup d’archives souvent mal entreposées. Là-aussi, nous allons pousser à une amélioration, en sachant que cela prend toujours du temps.

 

Le point suivant de l’ordre du jour était les suites données au signalement d’un danger grave et imminent par des membres du CHSCT. Une enquête avait été menée sur place et un désaccord était apparu sur les mesures à prendre pour le faire cesser. Un CHSCT extraordinaire avait donc eu lieu et nous attendions les mesures que l’administration voulait prendre en tant qu’employeur. Or, quelle ne fut pas notre surprise de n’en avoir aucune. Face à une telle négation des droits du CHSCT, nous avons voté un avis réclamant une enquête de l’Inspectrice santé et sécurité au travail et nous avons quitté la séance pour marquer notre protestation.

Cette dernière s’est rendue sur les lieux concernés et à réaliser une visite d’inspection. Son compte-rendu nous a été présenté ce lundi dans lequel elle a fait quelques préconisations. Nous avons ensuite demandé que Mme la Directrice académique arrête les mesures à prendre et un calendrier précis de leur mise en œuvre pour faire cesser le danger grave et imminent dans les 15 jours comme le prévoit la réglementation.

Nous avons aussi demandé à ce que le CHSCT soit mis eu au courant de ces

derniers.

Le CHSCT s’est d’abord réuni le 12 avril pour examiner un roboratif ordre du jour. Cependant, nous n’avons pas été au bout de ce travail pour des raisons que nous allons vous expliquer plus bas.

 

Après l’approbation du PV de la séance du 30 novembre, il nous a été présenté une synthèse autour des accidents du travail et des maladies professionnelles en Vendée.

Logiquement, il est apparu que les principaux accidents étaient les entorses. Nous avons cependant demandé que les causes de ces entorses soient approfondies pour qu’une politique de prévention soit mise en place à ce sujet.

Bien entendu, d’autres types d’accident s’ajoutent comme les accidents de trajet ou des problèmes liés à de la manutention. On peut penser ici aux secrétaires dans les EPLE qui manipulent beaucoup d’archives souvent mal entreposées. Là-aussi, nous allons pousser à une amélioration, en sachant que cela prend toujours du temps.

 

Le point suivant de l’ordre du jour était les suites données au signalement d’un danger grave et imminent par des membres du CHSCT. Une enquête avait été menée sur place et un désaccord était apparu sur les mesures à prendre pour le faire cesser. Un CHSCT extraordinaire avait donc eu lieu et nous attendions les mesures que l’administration voulait prendre en tant qu’employeur. Or, quelle ne fut pas notre surprise de n’en avoir aucune. Face à une telle négation des droits du CHSCT, nous avons voté un avis réclamant une enquête de l’Inspectrice santé et sécurité au travail et nous avons quitté la séance pour marquer notre protestation.

Cette dernière s’est rendue sur les lieux concernés et à réaliser une visite d’inspection. Son compte-rendu nous a été présenté ce lundi dans lequel elle a fait quelques préconisations. Nous avons ensuite demandé que Mme la Directrice académique arrête les mesures à prendre et un calendrier précis de leur mise en œuvre pour faire cesser le danger grave et imminent dans les 15 jours comme le prévoit la réglementation.

Nous avons aussi demandé à ce que le CHSCT soit mis eu au courant de ces

derniers.